Posté en tant qu’invité par jc:
Tiens, un petit récit d’anticipation, mais vite fait quand-même, car l’heure de l’apéro approche, récit qu’il faudra comparer dans 3 semaines à la future réalité:
Le weekend du 29-30 septembre, je participe à une course de 24h dans le cadre des Virades de l’Espoir. Du côté de la ville rose, mais j’affirme que mon collant de course restera tout noir.
Attendez, attendez, du calme… je vous entends déjà dire: "Ohhhh! ", « Non? », "Neun!c’est pas dieu possib’… et toutes sortes d’interjections allant de l’enthousiasme attendri à la compassion feinte en passant par la traditionnelle admiration camptocampienne qui se mue parfois en grandissantes critiques techniques… et j’en passe (l’apéro va réchauffer)
Soyons bien clairs:
Je n’ai pas dit que MOI je courrais pendant 24h. Consternation dans vos yeux. Et non, n’en déplaise aux plus mal embouchés, je n’ai pas prévu de laisser ma peau à Toulouse, pas si tôt en tous cas.
Non, mais avec Thomas (mon fiston pompier pas bachelier mais sympa quand-même), 3 de mes (4) frangins et un copain, ça fait donc 6 pour 24h de course à pied en relais. A vos calculettes pour savoir combien de temps je vais devoir m’astreindre à ce dur labeur qui consiste à mettre un pied devant l’autre au minimum un mètre plus loin après une légère suspension dans l’air (phrase niveau CM1, calcul niveau CE2)
Vu que 24:6 ne peut pas faire 4 à cause des possibles intempéries, des mauvais relais, du mal au ventre à minuit et autres impondérables de poids (sympa celle-là), je courrai donc environ 4h15 exactement… (purée l’apéro s’évapore, vite…)
Ce qui ne m’est arrivé qu’une fois dans ma vie, à la Saintélyon, mais c’était plus au nord, plus tard dans l’année, plus haut en altitude, plus…
Bref rien à voir, je me demande pourquoi vous me relancez sur cette question.
Donc je vous concocterai un p’tit compte-rendu si vous êtes sages. Je n’en puis plus, le pastis s’est mis en boule, et si ça continue je vais faire de même.
Adio !
jc