Force & conti

Posté en tant qu’invité par Manu:

Hello tous,
Une question sur l’entraînement.
J’ai lu que si l’on fait une séance de force et que l’on termine par de la conti, on perd le bénéfice de la séance de force, donc qu’il ne faut pas mélanger force et conti dans la même séance.
Est-ce vrai? Si oui, pourquoi? Est-ce aussi le cas si on fait des séances de force et des séances de conti dans la même semaine? Et si l’on finit sa séance de force par un footing?
Et si l’on mélange force et rési ou conti et rési, est-ce la même chose?
Perso, ça ne me motive pas trop d’axer des cycles entier de plusieurs semaines sur une même filière. Je préfère varier les plaisirs et aussi faire de la conti le lendemain d’une séance plus axée force pour récupérer. Est-ce une erreur?
Merci pour vos réponses.
Bonne grimpe

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par jeremy:

c’est ce que j ai lu aussi sur des livres d’entrainement. c’est tout ce que je peux te dire. En tous cas depuis 6 mois j’ai axé chaque seance sur une filiere et je pense avoie plus progressé que les années précédentes. á essayer l’hiver

Posté en tant qu’invité par Manu:

OK
J’ai essayé de retrouver ce que j’avais lu. Si j’ai bien compris:

  • une séance sur une seule filière sollicite plus intensément la filière en question, mais une séance avec plusieurs filières peut être intéressante car elle permet de travailler une filière tout en continuant à entretenir une autre.
  • d’après ce que j’ai lu, il faut quand même éviter de mélanger la rési avec la force ou la conti
  • également, éviter de terminer une séance de force par des exercices qui produisent de l’acide lactique.

Si vous avez un avis sur la question, je suis intéressé…

Posté en tant qu’invité par Maxime St-Onge:

Bonjour,

En réponse à ta question. Il n’est pas du tout déconseillé de faire un entraînement en force suivi d’un travail de nature aérobie. Il n’importe pas de cibler uniquement une seule qualité physiologique par entraînement mais bien d’appliquer certaines règles de priorité. Un entraînement en force doit se faire en l’absence de fatique et un entraînement en endurance aérobie doit se faire en présence de fatigue. La combinaison des deux est donc possible à condition de suivre une séquence logique soit force en début de séance et endurance aérobie (à ne pas confondre avec puissance aérobie max) vers la fin.
Cette combinaison, à volume d’entraînement raisonable, faovrise une production accrue d’hormone de croissance et active également la glycogène synthase qui favorise la réplétion des réserves de glycogène en présence de substrats (apports en glucides pendant le travail aérobie par exemple). Le résultat, fonction de la récupération, sera probablement des gains plus importants en force et une augmentation de l’activité enzymatique au niveau aérobie.

J’espère que ça aide, sinon, n’hésite pas à me contacter.

Maxime

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Burppp!:

Heu, tu veux dire que l’on peut faire de la glycogènogénèse pendant la glycogènolyse et ainsi la compenser… ou tu parles juste de recup?