Flotte en montagne

Posté en tant qu’invité par nico:

quelles sont les maladies/parasites véhiculés que l’on peut trouver dans la flotte de montagne (des glaciers jusqu’à sous les troupeaux)??

il existe parait-il dans l’eau de glacier une algue qui peut être responsable d’une infection parasitaire vraiment pernicieuse!!

c’est pas pour psychoter, c’est histoire d’être au courant

moi de toute façon je ne boit que de la bière et du rouge!!

Posté en tant qu’invité par rapha:

nico a écrit:

moi de toute façon je ne boit que de la bière et du rouge!!

tu as raison il n’y a que ça de vrai mais n’oublie pas la vodka quand même

Posté en tant qu’invité par pierre yves:

je comprend pas, une algue qui viendrait d’où ?

je n ais pas connaissance d’un tel phénomène.

Posté en tant qu’invité par Swiss Marmotte:

Bande d’allcolique… :wink:

Posté en tant qu’invité par papy_ours:

on en trouve des trucs sur la glace ( et sur google aussi … ) :

bonne lecture !

Ver de glacier de LEC Standard

Nom commun de Mesenchytraeus solifugus, un ver Oligochète (voir ANNÉLIDES) foncé qui peut atteindre 4 cm de longueur et que l’on trouve en masses enchevêtrées dans la glace fondante des GLACIERS du Pacifique nord-ouest. On trouve des vers semblables au Groenland et en Russie. Le nom spécifique solifugus, très approprié, signifie « fuit le soleil ». En effet, au printemps et en été, ce ver se nourrit d’algues à la surface de la glace seulement au crépuscule et à l’aube parce qu’il est vulnérable aux températures supérieures à 7 °C. Curieusement, il n’est pas résistant au gel bien qu’il puisse tolérer jusqu’à -7 °C sans congeler par surrefroidissement. L’hiver, la neige qui recouvre la glace le protège des effets létaux de la congélation, et il peut choisir des zones de température optimale en effectuant des migrations verticales.

Le terme « ver de glacier » réfère aussi à une chenille poilue, Gynaephora groenlandica (ordre des Lépidoptères) de la région du Haut Arctique qui tolère la congélation et hiverne dans des habitats exposés aux éléments. De plus « ver de glacier » désigne l’insecte orthoptéroïde primitif Grylloblatta campodeiformis (ordre des Notoptères), de couleur blanc crème, au corps mince et sans ailes, que l’on trouve quelquefois en bordure des glaciers fondants dans les Rocheuses canadiennes. Le Capitaine Robert F. Scott, de l’expédition britannique d’exploration de l’Antarctique (1910-1912), a décrit des « vers de glacier » sous la banquise au printemps, mais il s’agissait de Diatomées filamenteuses (voir ALGUES).

Les vers de glacier font partie du folklore canadien. Un mythe inuit raconte que Sikusi, « un ver de glacier laineux et espiègle » réputé pour faire fondre les igloos, aurait libéré un Inuit de Tuktoyaktuk emprisonné dans la glace. L’écrivain Robert SERVICE a composé la « Ballad of the Ice-worm Cocktail » qui raconte l’histoire d’un spaghetti teint avec des yeux peints.

Auteur R.G.B. REID

Posté en tant qu’invité par Loïc:

Il y a une algue rouge dont je ne sais plus le nom et qui prospère (youp là boum !) à la surface de la neige sur les glaciers en été. J’en ai vu plusieurs fois en Vanoise, on dirait que quelqu’un a renversé une gourde de vin sur la neige, mais ça couvre de grandes surfaces. Par contre je ne sais pas si c’est nuisible pour la santé ou pas.