Florent Perrier, le nouveau maître de la "peau de phoque" (article du monde)

Posté en tant qu’invité par @lain:

je ne vois pas le problème …

Chez nous autres les cyclistes il y a de la place pour tous :
les jeunots ety leur bike indestructibles de 20kg
les pistards et leur piste en bois ou béton qui tournent comme des dingues des heures durant pourt gonfler les cuisses
les VTTistes et leur amour pour les espaces sauvages
les routiers et leur passion pour le bitume

et parfois un mec fait un peu de toutes les pratiques …il en existe même qui quelquefois après leur carrière finissent de se cramer ski de randos aux pieds !!!

Posté en tant qu’invité par catherine:

@lain a écrit:

et parfois un mec fait un peu de toutes les pratiques …il en
existe même qui quelquefois après leur carrière finissent de se
cramer ski de randos aux pieds !!!

ah oui, t’as des noms ?
:wink:

en tous cas, tu n’as pas l’air d’être encore complètement cramé !!!

Posté en tant qu’invité par dronz:

merci Fleur ; tu as résumé l’essentiel
un parcours magnifique…(du soleil, de la neige…)
et des montagnards (athlète, public…) heureux…

Posté en tant qu’invité par @lain:

alors là on verra lundi soir à la fin de notre non stop cham-Zermatt !!!
Après 90 km de peaux et 8000m de D+ à suivre des jeunots je risque de jouer à la limace solitaire sur les glaciers suisse !!! …

Posté en tant qu’invité par François:

Il pourrait même s’agir d’un troupeau de limaces;
C’est sur qu’à Zermatt, lundi de Pâques au soir, ça ne ressemblera pas à l’arivée de la Pierra Menta…!!

Posté en tant qu’invité par Jésus:

Il faut reconnaître que l’activité elle-même n’a strictement rien à voir avec ce qu’on associe en terme de « montagnard ». Tout comme le ski de piste (l’extrème).
On est en montagne c’est tout. Le parcours est totalement aseptisé. Pour s’entraîner il est évident que les compétiteurs ne vont pas le faire n’importe où mais sur des pistes en général. Le but c’est l’effort, la vitesse. C’est une course. L’esprit est tout autre même si le compétiteur peut « faire une rando normale » en faisant une trace - heureusement !
Je pense que c’est ce que veut dire le Vieux.
Le vrai montagnard ne va pas perdre son temps à remonter 10 x la piste pour ses fractionnés ou son endurance intermittente. Il va en montagne avec tout ce que ça implique : aventure, engagement, contre les éléments, les risques, l’autonomie, la recherche d’itinéraire, la contemplation, les traces d’animaux, la connaissance, l’utilisation de tous les sens …

Pour ma part, j’adore l’effort et la compète mais surtout je ne mélangerai pas la montagne à ça car je me sens avant tout montagnard et la montagne vaut bien plus que de devenir un simple terrain de jeu. Donc c’est en vélo que je vais faire ça, nez dans le guidon sur le bitume. l’effort et seulement ça.

Ceci dit, je suis aussi en collant pipette en montagne pour l’aisance, l’efficacité et le confort comme quoi …

Posté en tant qu’invité par X@v.:

Mardi matin je veux le résumé et les photos sur mon bureau.
j’espère que je me suis bien fait comprendre soldat @lain !!!

;-))

X@v.

Posté en tant qu’invité par Lutin:

C’est sûr qu’on veut tout savoir !

Posté en tant qu’invité par Danny:

jésus a dit :
"Il faut reconnaître que l’activité elle-même n’a strictement rien à voir avec ce qu’on associe en terme de « montagnard ». "

à voir, à voir. Etant à la fois compétiteur et randonneur faisant bien souvent sa trace, je pense qu’il faut être un peu plus mesuré.

Quand pendant la TSF, tu te trouves au sommet de la face W du charvin bien cartonné ou gelé, c’est pas le misérable bout de corde de 20m qui va empêcher une grosse gamelle genre 200m de luge.
Ou quand pendant la Pierra remontant l’arête du grand mont, je vois pas bien ce qui pourrait t’empêcher de te prendre un vol.

La seule aseptisation de ces compèt’, c’est la proximité des secours.