Posté en tant qu’invité par BenJi:
Bonjour
J’aurais besoin de renseignement pour un exposé:
L’évolution de l’alpinisme grâce à l’escalade.
Merci de votre aide.
BenJi
Posté en tant qu’invité par BenJi:
Bonjour
J’aurais besoin de renseignement pour un exposé:
L’évolution de l’alpinisme grâce à l’escalade.
Merci de votre aide.
BenJi
Posté en tant qu’invité par J2LH:
C’est bien mais on ne va pas faire ton expo a ta place alros si tu n’as pas de questions précises…
Posté en tant qu’invité par G. Pire, Pire que la Fouine:
Tu peux déjà partir de l’idée suivante :
Posté en tant qu’invité par philippe:
Au debut, les alpinistes n’allaient ils pas grimper en falaise ou a Bleau juste pour s’entrainer et preparer leurs saisons d’alpinisme?
Posté en tant qu’invité par nico:
tu peux aussi examiner la relation quil y a entre le progrès du matériel et le dévelopement des activtés (ex : Robert Jasper a libéré en libre et à vue No Siesta dans la face Nord des Jorasses et cela n’aurait probablement pas été possible sans les gros progrès récents du matériel…). J’ai déjà fai un exposé sur ce sujet et c’est très intéressant! bonne reflexion.
Posté en tant qu’invité par G. Pire, Pire que la Fouine:
Si et c’est pour cela que l’escalade n’était pas une discipline autonome, sa finalité était l’alpinisme.
Posté en tant qu’invité par mountainer:
Nico a dit :
« Robert Jasper a libéré en libre et à vue No Siesta dans la face Nord des Jorasses et cela n’aurait probablement pas été possible sans les gros progrès récents du matériel »
Un truc que je n’explique pas et que pourtant qu’on on lit souvent.
Comment peut on faire des progrès en libre avec les gros progrès récents du matériel alors que le propre de libre est de monter by « fair means » ç.à.d sans l’utilisation d’artifice justement.(mis à part l’évolution des chaussons ,bien sûr.)
Il s’agit d’avantage d’une évolution de technique pure d’escalade, de préparation non ?
Posté en tant qu’invité par Michel:
Les friends sont (ont été ?) un facteur notoire d’évolution du libre !!!
Posté en tant qu’invité par baghirati:
Robert Jasper a libéré et à vue No Siesta dans la face Nord des Jorasses
c’était quand ?
Posté en tant qu’invité par nico:
2002, il me semble mais je peux me tromper.
Posté en tant qu’invité par nico:
je pense que tu mélanges les 2 choses : le fait d’avoir des piolets très légers avec des lames très performantes spécialement adaptées à la pratique du dry-tooling n’est pas un artifice mais un progrès. Il en va de même pour le la sécurité comme le dit Michel. C’est la combinaison de ces 2 éléments qui permet je pense de libérer des longueurs d’escalade artificielle (ici A4 en l’occurence) en libre (M8+) quand même! Mais il est évident que ces gimpeurs sont extrêmement bien préparés physiquement et mentalement ce qui n’a rien de nouveau. Pour préciser ma pensée et en prenant juste en compte l’exemple des piolets, plus facile de faire du dry avec le matos d’aujourd’hui qu’avec des chacal barracuda non?
Posté en tant qu’invité par baghirati:
j’ai un pote qui l’a fait en 96 il me semble , il a notament pris un gros vol dans une longueur dure , arrachant le seul spit de la longueur …
Posté en tant qu’invité par Michel:
Salut,
je suis d’accord avec Nico. 3 facteurs contribuent à la performance :
En alpinisme, le troisième facteur a une influence majeur, car l’engagement (la difficulté de revenir en cas d’échec) et le risque de chute aux conséquences diverses sont inséparables d’une pratique de haut niveau.
L’escalade « sportive », en écartant ces deux derniers paramètres puisque le retour est simple et la chute fait partie du jeu, a permis de hausser considérablement le niveau des capacités physiques en permettant d’être toujours à la limite. Ce faisant, la pratique de ce type d’escalade augmente les capacités physiques par l’entrainement, mais augmente aussi la capacité mentale par une meilleure connaissance des limites.
Rappelons que l’escalade sportive ne date tout au plus que d’une trentaine d’années avec l’acceptation du vol comme une composante normale ; un des précurseurs de cette évolution a été Christian Guyomar dès 1974 aux deux aiguilles dans le massif de Sainte Victoire ; avant les années 80, le vol était considéré au mieux comme un incident voire plus souvent comme un accident.
Quant au facteur « matériel », il suffit de voir les cordes en chanvre, les crampons 10 pointes, les mousquetons acier, les goretex, chaussures … Il ne faut pas non plus négliger le facteur lié aux infrastructures comme les téléphériques, refuges, câbles, équipement des rappels, lignes de spits. Enfin la documentation en tout genre, dont très récemment la documentation actualisée sur Internet, contribue très largement à la démythification du milieu montagnard.
N’oublions pas la démultiplication des systèmes de secours allant du secours organisé (PGHM, …) utilisant des moyens toujours plus performants (hélicoptères, pinces à crevasses), aux dispositifs de secours destinés aux groupes, comme les ARVA (Merci Francois). Enfin, la disponibilité de moyens de communication permettant de recourir à l’assistance dans des situations qui relèvent seulement de l’inconfort, permet d’envisager les courses en montagne comme les parcours de golf.
Tous ces moyens technologiques ne sont pas « bons » ; ils se doivent d’être utilisés dans le cadre d’une éthique commune, car comme en sport le dopage reste illicite.
En espérant que ces élements t’aident dans la constitution de ton exposé,
Michel,
Posté en tant qu’invité par Tétras:
Le sujet semble inversé. Il serai plus juste de la posé sous cette forme : l’évolution de l’escalade grace a l’alpinisme, mais bon, c’est un autre débat.
Encore un problème pris à l’envers : je pense que c’est l’évolution de la technique qui à fait évoluer le matériel, et non l’inverse.
Tu trouvera une mine d’info sur ce sujet au musée de l’alpinisme de st Christophe en Oisan.
Les vieux bouquins sont aussi très interressant : Herman Buhl, Gaston Rébufat, R Messner, Fernand Petzl (spéléo), Eldinger … ont révolutionner la pratique de l’escalade dans leur époque respective.
Posté en tant qu’invité par Francois:
Tétras a écrit:
Le sujet semble inversé. Il serai plus juste de la posé sous
cette forme : l’évolution de l’escalade grace a l’alpinisme,
mais bon, c’est un autre débat.Encore un problème pris à l’envers : je pense que c’est
l’évolution de la technique qui à fait évoluer le matériel, et
non l’inverse.
Excuse-moi, mais c’est de la masturbation de méninges. On pourrait en discuter 100 ans sans se trouver d’accord.
(qu’est-ce qui est apparu en premier: l’oeuf ou la poule?)
Posté en tant qu’invité par Michel:
Francois a écrit:
Tétras a écrit:
Le sujet semble inversé. Il serai plus juste de la posé sous
cette forme : l’évolution de l’escalade grace a l’alpinisme,
mais bon, c’est un autre débat.
Encore un problème pris à l’envers : je pense que c’est
l’évolution de la technique qui à fait évoluer le matériel,
et
non l’inverse.Excuse-moi, mais c’est de la masturbation de méninges. On
pourrait en discuter 100 ans sans se trouver d’accord.
(qu’est-ce qui est apparu en premier: l’oeuf ou la poule?)
D’ailleurs en Orient (ils sont sages là bas), il est bien connu que
« la poule , elle Fi leh soeuf »
Coté sodomisation des coléoptères, la question mérite d’être misE au débat, mon cher Francois. Bon Dieu, que pense et que fout J2LH ? Il doit bien avoir un avis sur la question.
Les raquettes ont elles créé la fréquentation de la montagne en hiver, ou la fréquantation a t elle créé les raquettes ?
A 16h, je ramasse les copies.
Posté en tant qu’invité par baghirati:
Il serai plus juste de la posé sous cette forme : l’évolution de l’escalade grace a l’alpinisme, mais bon, c’est un autre débat.
pour autant que je le comprenne c’est l’évolution de niveau en escalade qui est transposé en montagne et pas l’inverse
Les raquettes ont elles créé la fréquentation de la montagne en hiver, ou la fréquantation a t elle créé les raquettes ?
en tous cas la fréquentation des raquettes à crée j2lh maître ès branlettes à neige
Posté en tant qu’invité par Michel:
baghirati a écrit:
en tous cas la fréquentation des raquettes à crée j2lh maître
ès branlettes à neige
Tant que son activité ne pollue que les forums, j’ai rien à dire. S’il en vient à produire des éjaculats en milieu naturel, j’alerte la FRAPNA… pour introduction d’OGM (il en est , non ?) dans la nature.
Posté en tant qu’invité par baghirati:
pour introduction d’OGM (il en est , non ?) dans la nature.
si c’est le cas voilà bien un argument décisif pour interdire la production d’ogm en france .
faudrait l’attrapper pour le confier à des scientifiques , etienne , laurent , vous bossez sur quoi au cnrs ? des insectes ? un j2lh ça vous intéresse ?
questions subsdiaires : faut il un permis pour chasser le j2lh ? revient il au galop ? est ce que ça court vite un j2lh ?
Posté en tant qu’invité par Maître Capello:
Coté sodomisation des coléoptères, la question mérite d’être
misE au débat, mon cher Francois.
Etant très sensibilisé à la question sur un plan professionnel (je travaille avec des élus… qui se rassemblent régulièrement, longuement et tardivement pour faire subir les pires outrages à nos amies les mouches…):
je te signale que la mouche est un diptère, et non à coléoptère (et encore moins un coléocouilles, contrairement au morpion)
on parlera donc de sodomie de diptères, mais pas trop fort car nous risquerions de provoquer un nouveau mouvement pétitonnaire de protecteurs des zanimo. Quest-ce qu’ils foutent, d’ailleurs? encore aucune pétition contre la chasse au J2LH malgré les nombreuses victimes ces derniers jours sur les forums de C2C…