Une fois je suis tombé sur une présentation de John Krakauer, qui était sur place pendant le désastre en '96, qui disait que même avec l’O2 c’était encore très dur. Mais j’imagine que les pratiques ont quand-même évoluées depuis. Je me demande à quelle point il fait avoir une bonne caisse de nos jours…
Everest en 7 jours, acclimatation comprise !
En 96 oui mais plus maintenant.
Les bouteilles sont quasi illimitées (l’helico est devenu toléré pour du portage au C1 voire C2). On est passé de 5-6 par personne (-1000m depuis le C3 à 7400m) à 10 à 20 pour les clients des grosses agences (-1000m depuis le C1 6000m et/ou -2000m depuis le C3). En gros, une personne qui s’acclimate bien et qui est capable de courir 20-30km parviendra au sommet.
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Et qui possède un compte en banque adéquat.
Quant à l’hélico, pourquoi pas jusqu’au col Sud ? Ou au-delà ?
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L’hélicos ont quand-même une limite d’altitude car l’air n’est pas suffisamment épais.
Le record en hélico c’est 12 000 M .
Oui, mais en conditions particulières !
L’appareil avait été allégé au maximum, même le carburant avait été très limité !
Et la redescente a été en auto-rotation car plus de carburant !
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De mémoire j’ai vu un sauvetage à quasi 6000 M sur le Pobieda.
Le camp I de l’Everest après l’icefall doit être accessible aux hélicos
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Pilotage de haut vol ! Sacrée performance 
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Oui c’est vrai que quelqu’un a réussi il n’y a pas si longtemps d’atterrir au sommet d’Everest, mais idem, conditions très particulières.
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En 2005 un hélicoptère Ecureuil (Eurocopter), de stricte série, a atterri au sommet de l’Everest et y est resté 3 mn, temps réglementaire pour l’enregistrement de la performance. On trouve des vidéos de l’affaire.
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De strict série mais avec une campagne d’allègement draconnienne, tous ce qui été inutile a été enlevé pour ce vol, ( habillage, fauteuil sauf celui du pilote…)
Et c’était un pilote d’essai du fabricant donc il connaissait bien son affaire.
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J’avais regardé il y a quelques années un vod d’un trailer qui disait que, sur la course qu’il était en train de faire, la musique était interdite (écouteurs) car considérée dopante…
Je dirais personnellement qu’il y a qqch de l’ordre de l’accessibilité (si tout le monde peut sans payer obtenir si ou ça, ça restera un dopant fair-play) et d’un effet potentiel négatif à long terme sur la santé. Après, y a sans doute des histoires de lobby, de mode, de traditionalisme…
Lors des compétitions d’athlétisme, y compris hors stade (marathon, marche), l’utilisation dans la zone de compétition d’écouteurs, mais aussi téléphone, caméra, radio, etc est considéré comme susceptible d’apporter une aide extérieur, donc est interdit. Ce n’est pas la musique en elle-même qui est proscrite.
Je ne connais pas la réglementation des trails, mais l’interdiction des écouteurs peut se justifier de la même façon, s’agissant d’une possible aide extérieure (coureur recevant des informations à distance), auquel s’ajoute un aspect sécurité bien compréhensible lorsqu’on évolue dans des terrains escarpés où la vigilance est impérative.