Étude sur le bivouac

Bonjour à tous amis montagnards !

Je suis stagiaire au sein du programme de recherche « Refuges Sentinelles » et étudiante en Master 2 de géographie à l’Université Savoie Mont-Blanc. Dans ce cadre, je mène une étude sur la pratique du bivouac en montagne, qui est une activité difficile à cerner. Même si vous ne pratiquez pas le bivouac, pourriez-vous répondre à cette enquête:

C’est rapide et cela m’aiderait beaucoup !
Merci à tous ,
Juliette

Ce questionnaire a pour but de mieux comprendre ces pratiques, particulièrement difficiles à cerner et à quantifier et qui peuvent refléter plus globalement des changements dans les façons de faire de la montagne et de l’alpinisme.

A quoi est supposé servir la « compréhension du bivouac » qui va émerger de ce questionnaire ?

Attention, tu devrais supprimer la dernière page du questionnaire car on peut croire l’avoir fini et fermer la fenêtre avant de l’avoir vraiment envoyé.

Comment quelqu’un ne « pratiquant » pas le bivouac peut être concerné par ce questionnaire, et pourquoi sont avis inutile peut être utile ?
Et au passage, c’est un questionnaire plutôt sur le camping sauvage que sur le bivouac qui pour rappel désigne une nuit imprévue passée à l’extérieur, où que l’on se trouve (et généralement c’est souvent sur un emplacement galère, sous la pluie…).

Non le bivouac c’est aussi le fait de passer une nuit sous tente en la montant le soir et la démontant le lendemain matin, comme on peut faire sur une rando itinerante. Par opposition au camping où on laisse la tente plusieurs jours.
Par contre tout a fait d’accord avec le début de ton post.

Ce que tu décris j’appelle ça du camping sauvage (légal ou pas).
Du coup j’édite mon message, j’ai l’impression que ma définition ne fait pas consensus après recherche…

C’est juste qu’il y a plusieurs définitions.
Celle que tu donnes et qu’en tant que montagnards on a tendance à privilégier (on s’imagine tout de suite le bivouac improvisé en face nord des Grandes Jorasses, sous l’orage de grésil) et celle plus prosaïque que j’ai donnée, qui est surtout juridique car le bivouac peut être autorisé là où le camping est interdit.

Ce que donne @pasinvite est la définition du bivouac au sens Parc des Ecrins, par exemple.

Au lieu de t’occuper de ça, tu ferais mieux de faire la manche pour acheter des couches.

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Elle vient d’avoir une promotion @hedera ?

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Personnellement j’ajouterais juste que le fait de pouvoir suivre sa curiosité pendant plusieurs jours au fil des combes, sommets, pierriers, sans se préoccuper du l’heure du repas et des boules quies pour la nuit, me permet des souvenirs rares.
Où toute la relativité de notre environnement, nous englobe le temps d’une immersion dans la simplicité.

Excellente soirée à tous.

Fred

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Un camp de base (genre Everest), c’est du bivouac ou du camping ? :neutral_face:

C’est un camp de base :wink:
Rien à voir avec un bivouac quelle que soit la définition.

Voilà répondu.

Je vous remercie tous pour vos remarques, positives comme négatives !
Juste pour répondre à certaines questions: Ce questionnaire à pour but d’apporter quelques éléments statistiques à un étude universitaire plus large, utilisant d’autres méthodologies.
Merci pour votre aide !
Juliette

Pour répondre à votre interrogation, quelqu’un qui pratique la montagne mais pas forcément le bivouac peut tout à fait répondre à ce questionnaire. En effet, la majorité des questions concernent la manière générale de pratiquer la montagne et non spécifiquement le bivouac (niveau, massifs fréquentés, fréquentation des refuges…). De plus je suis très intéressée par les raisons qui font qu’ils ne bivouaquent pas, cela fait partie de l’étude.

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Je crois que ce qui plait dans le bivouac, c’est que c’est… « une activité difficile à cerner ».
Pas sûr que ceux qui bivouaquent aient vraiment envie qu’on les cerne.