Oui il y a des sentiers patrimoniaux par exemple ceux qui longeaient les canaux d’irrigation aujourd’hui inutilisés plus en eau et du coup le sentier n’existe plus vraiment non plus. Certaines communes aimeraient même les remettre en service et c’est sympa seulement vu que c’est pas indispensable ni pour l’eau ni pour y marcher ben faut trouver des moyens… Et après fait les entretenir. Des associations font du beau boulot comme sous le Chaillol où ils reconstruisent un canal. Ça demande des heures d’effort pour être bien fait pierres sèches etc
Donc le truc hyper cher si c’est pas bénévole à cause du temps de main d’oeuvre énorme
Entretenir les sentiers qui disparaissent ?
Entre donner un petit coup de sécateur et passer la journée entière à piocher, on n’est plus vraiment dans le même investissement…
J’ai croisé cet été un Voreppin qui a créé de toute pièce dans les buis un sentier de 600m de dénivelé au dessus de chez lui pendant le confinement. Dévouement n’est pas le bon mot, on parle de passion.
Euh. C’est un sentier qui est utile? Qui va être emprunté ? Parce que sinon bon …
Ainsi, certaines collectivités reconvertissent d’anciennes voies ferrées en chemins touristiques (comme dans les gorges de la Mimente au dessus de Florac). Une manière de conserver la mémoire du passé ferroviaire.
Seulement, il faut une réelle volonté politique, étayée par la conscience de la valeur patrimoniale du sentier, pour consacrer le budget nécessaire à l’entretien (nettoyage, déblaiement des éboulements, etc, …).
Oui, le sentier est utile, a été publié sur le net par d’autres personnes et est relativement emprunté (aiguille de Chalais, arête SW)
N’importe quoi…Le « dérèglement climatique » à toutes les sauces…
Il a bon dos pour l’entretien de nos sentiers
Déjà @bernard_guerin parle des routes et non des sentiers.
Ensuite oui, le dérèglement climatique ( et la destruction de l’environnement au sens large ) devraient être les préoccupations majeures de tout un chacun.
j’ai toujours un sécateur et une scie rétractable dans mon sac à dos, au cas où; qui le fait aussi ?..
Si l’on veut garder nos jolis sentiers ouverts, il faut motiver les « consommateurs » de dénivelés et de performances à aussi nettoyer quand ils sortent sinon leurs terrains de jeu disparaitra (bien sûr les clubs sont les premiers concernés mais pas que); à son époque le « club vosgien » était exemplaire !
sauf que tu n’as pas le droit de couper / élaguer un chemin . Il faut avoir l’autorisation ,que ce soit un terrain privé ou pas . Je suis baliseur bénévole à la FFR et on a eu en formation du personnel de l’ ONF nous indiquant que l’élaguage sans autorisation peut couter très très cher (1500 euros par exemple)… Je suis autorisé à élaguer en tant que baliseur , mais uniquement sur ordre de mission du comité départemental de la FFR et en ne faisant pas n’importe quoi .
Tiens, c’est bon à savoir, merci pour l’information.
Est-ce que c’est vraiment l’entretien d’un chemin existant qui est interdite ou la création d’un passage là où il n’y en avait pas ?
Oui il y a un calibrage minimum à respecter : 1,5 m de large et 2m de haut
pour l’entretien . Pour la création d’un sentier , c’est beaucoup plus compliqué
toujours aussi constructives tes remarques . Décidement , je me rappelles pourquoi j’avais quitté C2C , comme de nombreuses personnes à l’époque …
très bien tes précisions dans l’autre poste
MAIS
on en crève des normes et on attend tout de l’État (ou des associations avec missions de service public)
Autrefois chaque habitant avait une obligation selon des rotation de calendrier précis, de création et d’entretien des voiries, passages, pistes et sentiers pour la collectivité dans son ensemble; et regardez comme nos ancêtres avaient bien travaillé ! Quel superbe maillage du territoire !
Allons, que le FFRP fasse le job oui, mais prenez quand même un sécateur et une petite scie dans votre sac à dos…
parce qu’ « autrefois », c’était des voies de circulation nécessaires à la vie de nos « ancêtres ».
Aujourd’hui, ce ne sont plus que des voies de loisirs.
Par contre les routes et autoroutes nécessaires à la vie de maintenant sont entretenues hein ! juste un changement d’échelle.
Mais bon comme « c’était mieux avant » de toute façon…
non c’était pas mieux avant, c’était différent car le développement et surtout la richesse étaient différents
Justement si l’on veut « profiter » de nos loisirs, il faut s’impliquer dans leur entretien !
Nos loisirs nous sont-ils nécessaires ? Pour moi, oui, ils me sont nécessaires ne serait-ce qu’à ma bonne santé physique, mais aussi à mon « bien-être », pris au sens large, et qui n’est pas que physique.
C’est même un besoin vital !
Il me semble que je ne suis pas la seule dans ces cas.
à 100% d’accord avec toi Catherine !
Il faut juste accepter que pour se payer nos loisirs préférés « pour être bien », il faille bien exercer un métier qui produit la richesse dont nous avons besoin ailleurs !