Intéressants tout ces commentaires. … Au PGHM de Chx il y avait un papier épinglé dans un bureau : " l’Avalanche ne sait pas que tu es un expert "
Enquête risques et alpinisme
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Attention… il s’agit d’un sondage pour un doctorat. Ça prend du temps à réaliser un doctorat. On peut aussi très bien imaginer que tout cela sera accompagné par des témoignages plus complets etc…
Du coup mieux vaut s’abstenir de donner son avis sur le sondage ou ce qu’elle pourra en tirer.
Ce n’était pas mon intention de faire un procès d’intention.
Je donne juste mon avis :
- les réponses de gens pratiquant depuis un moment peuvent donner un aperçu des différentes approches aux dangers en montagne (minimisation, roulette russe, fatalisme, etc.) et je suis sûr que l’analyse sera très intéressante.
- je me questionne sur l’intérêt de demander l’avis de quelqu’un qui a fait 3 courses.
Simplement, car je ne crois pas qu’il puisse ‹ ‹ les voir › › les dangers… et donc se donner la possibilité de choisir son rapport avec.
L’auteur/autrice sera bien libre de considérer cet avis comme il/elle préfère…
Peut-être qu’émergera que les réponses de ceux qui n’ont aucune expérience sont loin d’être un bruit blanc.
Et que les pratiquants de longue haleine, comme moi, sont, en moyenne, de vieux cons… qui cachent la tête dans le sable, pour pratiquer leur jeu d’enfant sans vouloir être dérangés pas les dangers que leur expérience ‹ ‹ voit › › très bien 
D’où l’intérêt de demander à ceux qui n’ont aucune expérience…
Dans tout le cas, je lui souhaite bon travail.
C’est une phrase attribuée à André Roch.
Si vous ne connaissez pas André Roch, voyez Gogol.
Intéressant : autour de moi de nombreux non-pratiquants (té on dirait une religion exprimé ainsi 
) voient bien plus de risques que ceux que voient certains pratiquants…
Même s’ils ne les nomment ou les identifient pas de la même façon évidemment…
(Le risque 1 étant peut être : « oui c’est super dangereux regarde y a des accidents tous les ans ils l’ont dit à la télé » par exemple…)
PS @Bubu Hey toujours cette manie de modifier tes posts une fois que j’y ai répondu : la réponse n’a ainsi plus grand sens mais cela montre une remise en question de ta part, je note et t’en remercie
Merci.
(C’est quoi ces espèces de tasses en bois (ou cuir) ?) j’aime bien le style « néolithique »)
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ces tasses viennent d’Iran, plus exactement d’une boutique « show room » dans le magnifique et immense et très ancien bazar couvert de Yadz et sont l’oeuvre d’un céramiste … ces tasses sont très légères, d’une finesse avec un revêtement extérieur granuleux … ramenées d’un voyage de deux mois, sur un été, il y a 3 ans, transportées quasi depuis le début dans mon sac à dos (voyage itinérant, à pied, en mode débrouille); nous sommes retournés en octobre qui a suivi, deux semaines dans le sud (infréquentable en été car 50°) avec un crochet à nouveau à,Yadz pour en acheter d’autres, avant d’aller à Kerman (ville fortifiée superbe qui a bien souffert d’un séisme, magnifique bazar également où nous avions trouvé des grands couteaux de cuisine qui n’ont de cesse de me ravir) … ces tasses n’ont rien d’iranien … Je conseille à tous d’aller en Iran, ce pays et les gens sont extraordinaires de générosité, d’hospitalités, j’ai, nous avons vécu des moments rares … j’ai été accueilli, invité tant et tant … on est très loin de ce qui peut parfois être véhiculé ici chez nous … sans parler de la culture, de la poésie, de l’architecture … surtout rien planifier, vous vivrez de très beaux moments d’humanité …
Une grande majorité exècrent les mollah et que dire de la jeunesse iranienne qui ne souhaitent que leur chute …
Pour en revenir à ces tasses, elles me sont précieuses et épousent le creux de votre paume quand vous buvez votre thé avec un côté rugueux, terreux, ce côté néolithique, bien vu 
et un intérieur d’une belle faïence verte toute iranienne pour le coup …
l’ran une mosaique de peuples, de cultures, de langues, de coutumes, de paysages contrastés, déserts, montagnes, les bords de la caspienne et j’en passe et j’en passe …
Alam Kuh second sommet d’iran que je conseille fortement, faisable en mode débrouille et autonome, un jour long pour le camp de base, un second pour le sommet et retour, long et de toute beauté, outre le damavan, une voie normale bien plus monotone, et puis bien d’autres massifs aussi parcourus, Zagros ou tout à l’ouest etc etc … Il y a de quoi faire …
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Euh, je n’ai pas changé le sens, j’ai juste précisé les sous-entendus peu compréhensibles hors contexte.
J’ai remplacé : « donc je suis fort », sous-entendu pour gérer les dangers facilement prévisibles vu que c’est l’objet de mon post,
par : « donc il ne peut pas m’arriver d’accident facilement prévisible. », ce qui veut dire la même chose, mais en clair.
Si tu n’avais pas compris les sous-entendus de la 1re version, ça signifie que j’ai bien fait de modifier mon post pour le préciser.
On appreciera la relativité de la chose 
D’ailleurs à la relecture après modif je comprends effectivement l’inverse de ce que je me rappelle avoir compris la 1ere fois 
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Moi z’ossi, d’ailleurs si j’évoque la notion « d’amélioration » dans ma réponse (au post « original »!) c’est qu’il était évoqué le fait de « s’améliorer », et cela aussi a disparu…
Ne te méprends pas @bubu, il s’agit vraiment d’un « remerciement » (avec une douce pointe ironique je l’avoue) : tu sembles avoir su rectifier un tir… Plutôt périlleux (ou au moins l’éclaircir si c’est nous qui ne savons pas te comprendre…).
Fin du hors sujet.
J’espère
Ah non je n’ai rien modifié d’autre, tu peux le vérifier sur mes posts.
J aime beaucoup ton exemple. Mon idée du risque étant que le risque est bien entendu un ensemble (nous+contexte). C est une sorte de zone d ombre, la ou l on ne regarde pas, car on n imagine pas que le contexte est un scénario dangereux et ou qu on est occupé a autre chose !
L exemple du pot de fleur est parfaitement adapté. Celui qui en a vu 10 tomber dans cette rue, lève probablement le nez en arrivant…car il connait le scénario et le contexte.
mais si il arrive en téléphonant en speed, avec une liste de course à faire et un gars louche en face, son vélo qui couine, ou un parapluie…ou je ne sais quoi qui focalise et distrait son attention, sa vision. …pas dit qu il lève le nez et identifie le « contexte ».
Voilà ce que nous sommes…humains faillibles.
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Bien vu !
Même s’il est également possible qu’il ne soit jamais tombé de pot de fleur dans cette rue, auquel cas il ne se méfiera pas, ou uniquement s’il extrapole à propos de ce qu’il sait des autres rues, pots de fleurs et statistiques.
Mais il pourra aussi, malgré (ou grâce à ?) ses connaissances, faire le choix de ne pas vivre dans cette méfiance (peur ?!) permanente qui le dessert parfois plus qu’elle ne le sert.
Car il y a peut-être aussi des hasards ? Voici une jolie définition du « hasard » entendue ici : « Deux trajectoires déterministes qui se rejoignent ».
Le déterminisme du pot de fleur ou des pierres qui croise celui de l’alpiniste, j’aime l’idée.
Ca existe des rues où 10 pots de fleur sont tombés en peu de temps?
Yaurait quand même matière à enquêter sur le coté involontaire de la chose dans ce cas.
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Allez, comme je suis bon, je vous fais part (gratuitement) de ma méthode d’analyse du risque en montagne. Vous en ferez ce que vous voudrez.
1/ MPP: Méfiance, Prudence, Patience.
2/ « Là où je suis, que peut-il m’arriver (de mal, s’entend) et que dois-je faire pour que ça n’arrive pas ? »
Le 1 vient de Robert Merle. La saga Fortune de France
Le 2 vient de Bruno Gardent, guide à La Grave.
La méthode peut paraître sommaire au premier abord, cependant je m’en accommode fort bien vu qu’il ne m’est (quasiment) rien arrivé dans une carrière alpine assez bien remplie.
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Moi j’aime bien celle de Gaston, le dosage entre enthousiasme et lucidité…
Probablement que j’suis trop enthousiaste (qui en doutait 
?) parce qu’il semblerait qu’en moins de 10 ans de montagne j’ai déjà essuyé quelques carnages.
Nous verrons si je gagnerai en lucidité, ou si l’enthousiasme continuera à dominer (en vrai je l’espère un peu, alors c’est couru d’avance 
).
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Comment ça se fait qu’il manque au moins trois « e » dans ton lien?