Posté en tant qu’invité par stef:
Paul G a écrit:
Il y a de bonnes idées dans cette discussion, mais qq chose me
laisse perplexe.
Supposons un encordement sans mousqueton, quel qu’il soit (le
coup du machard noué sur le baudrier me parait intéressant) :
- Si vous êtes en haut, votre noeud prend un choc, puis une
traction continue pendant quelques minutes. En outre, il peut
être mouillé, voir gelé. Qd vous aurez allégé la tension, ca ne
va pas être évident à défaire, parce que malgré tout vous avez
peu de mobilité.
Il faut que de base ca soit un noeud assez peu serré, car sauf en cas de chute on est jamais pendu dessus. Faut donc trouver un bon compromis.
Pour la mobilité, je suis pas forcement d’accord si tu prevoit un système assez long tu peut maniper relativement à l’aise, et lors de la progression tu appreciera d’autant plus.
Tu met ton ancrage tu transfert au niveau du noeud qui ferme la boucle coté autoblocant, et une fois la tension liberer tu te decorde (en t’autoassurant à l’ancrage).
J’ai conscient que dans certains cas ca peut etre merdique :-)))
- Si vous êtes en bas, et que vous devez remonter sur la corde,
votre noeud a également pris un choc. Dans le cas où personne
ne vous moufle, ni ne vous aménage la lèvre de la crevasse,
remonter sur corde avec un machard sur le pontet me parait
quasi impossible, surtout au niveau du passage de la lèvre.
c’est de la folie de remonter sur un machard au niveau du baudar, en 2 metres t mort d’epuisement 
Mais tu fait comme d’hab tu installe 2 autoblocants … le problème est le même que d’habitude.
Faut pas oublier qu’en cordée de 3 …on est 3, et je doute que les 3 sont dans la crevasse 
Perso, je reste encore au mouqueton. Il est possible de le
doubler par une longe avec un autre mousqueton fixé à un
machard, voir même directement sur la corde pour un équipier au
milieu.
Je t’avoue que moi aussi parce les chocs de chute en crevasse sont peu important, c’est pas de la via ferratta !!!
Je trouve le système surtout pratique en rocher à cause de la mobilité qu’il permet, et l’assurage aisé des traversée d’un second pas à l’aise.