Dormir!

Posté en tant qu’invité par carambole:

Salut

Ce WE j’ai passé ma deuxième nuit aux cosmiques et naturellement je n’ai pas eu l’impression de beaucoup dormir (mieux que la première fois l’année dernière mais quand même vraiment pas beaucoup !)

La veille pour limiter la casse et m’acclimater un peu j’avais passé la journée entre 3800 et 3200 et j’étais redescendu faire une course dans la vallée avant de remonter dormir. Je passe pratiquement 2 mois dans l’hiver à 2000.

Quelqu’un peut avoir pitié de ma prochaine nuit la haut et me donner un tuyau ???

Posté en tant qu’invité par Paul:

Prend de l’EPO

Posté en tant qu’invité par silex:

De la gnole !!!

Posté en tant qu’invité par carambole:

Pas d’autres suggestions ou conseils avisés ?

Posté en tant qu’invité par raph:

Je prends parfois des somniferes tres legers, aux plantes qui permettent de dormir 6 heures.

Posté en tant qu’invité par Mid:

Depuis que je mets des boules quiès, ça va beaucoup mieux!

Posté en tant qu’invité par davidB:

Bonjour,

Juste 2 remarques pour t’aider à résoudre ton problème.

Tu ne dis rien sur ce que tu ressens en altitude, or tes difficultés à dormir sont peut-être dûs à un ensemble de facteurs. Selon l’intensité de ce que tu éprouves les bons conseils ne sont pas forcément les mêmes.

Fais une recherche dans les titres des sujets avec des mots comme sommeil, dormir et tu verras que ces sujets ont déjà été abordés. Tu y trouveras peut-être des pistes.

David

Posté en tant qu’invité par Rozenn:

Mais est-ce que tu dors bien quand tu es sur le plancher des vaches? Tu y fais des nuits d’une traite ou le moindre bruit a tendance à te réveiller? Il y a des inégalités dès le départ entre les individus, qui ne font que s’exacerber avec l’altitude et la nervosité liée à la course. Une nuit au cosmique, en dépit du confort du refuge et la facilité d’accès c’est tout de même un peu violent car c’est très haut.
Personnellement je n’ai pas de problème marqué avec l’acclimatation mais la nervosité la veille d’une course me gagne souvent. Quand je sais que la course est faisable même en étant fatiguée, je laisse la nature faire les choses, en bien ou en mal, tant pis. De toute façon, je crois qu’on dort toujours plus que ce que l’on croît. En revanche, si la course est longue ou si son niveau technique et son engagement nécessitent beaucoup d’attention, alors y’a pas photo, c’est un demi stylnox (somnifère léger sur ordonnance) illico-presto. Et en général ça marche bien.
Sur ce, je vais faire la sieste…
:o)

Posté en tant qu’invité par Brigitte:

Je confirme les propos de Rozenn sur le demi stillnox en cas de « gros coup »
Pour une course tranquille, le fait de dormir peu ou d’un sommeil très « haché » affecte peu les performances sur un jour.
Il me semble toutefois avoir lu que les somnifères étaient déconseillés à très haute altitude ; pour moi le demi stillnox n’a posé aucun problème à des altitudes jusqu’à 3500m, ce qui est le cas de beaucoup de refuges …
Sinon des comprimés aux plantes genre euphytose calment bien .

Posté en tant qu’invité par Bertrand:

Dans le même style, très bonne expérience avec le Temesta (sur ordonnance, prendre le dosage mini), à 1000m ou à 6000m nuit reposante et excellente forme le lendemain dès le réveil (il faut juste laisser impérativement 6h minimum entre la prise et le réveil). Comme plein de choses, un excellent serviteur et un mauvais maitre, risque d’addiction si on en prend chaque soir, à chacun d’être raisonnable pour limiter ce genre d’utilisation à des cas exceptionnels (en ce qui me concerne nuit en refuge avec grosse course anxiogène à suivre ou nuit en train/avion).

Posté en tant qu’invité par carambole:

Merci !

et mea culpa j’ai effectivement fait une recherche et trouvé pas mal de choses !

sachant que mon problème c’est plutôt l’acclimatation que le fait de dormir en refuge.

Posté en tant qu’invité par @lain:

voila pourquoi avec certains autres copains givrés nous préféront opter pour les intégrales en non stop depuis la vallée …car vraiment rien ne remplace le lit de la maison
hé hé hé !!

trois avantages à cette manière de faire :

  1. pas de frais de refuge
    ce qui n’empêche pas l’escalope aux morilles à l’arrivée servi avec un bon bourgogne

  2. pas de problème de somnifères ( disons que c’est plutôt l’inverse mais sur ce point l’ambiance du groupe et le café grand mère font l’affaire; donc pas besoin de passer enrichir les pharmacies avec des somnifères ou autre purain d’orti bio pour dormir !)

3 …et en plus on est sympa on vous libère de la place !!!

Posté en tant qu’invité par coin-coin:

Fais l’amour !

Posté en tant qu’invité par Eric:

il y a aussi le sirop contre la toux (!) Mais ne pas trop en prendre, sinon le lendemain risque d’être un peu vasouilleux! Très efficace!

Posté en tant qu’invité par Crévindiou la Marie:

ben wé ,mais en dormant au refuge ,moi j’arrive au bout de Cham - Zermatt :wink: héhéhé