Posté en tant qu’invité par levieux:
A te lire tu n’as pas besoin d’ecrire en lettre CAPITAL!
Dopage en ski-alpinisme?
Posté en tant qu’invité par Astiaou:
J’ai les boules, je pense que j’entre dans la catégorie des « vieux » et que les jeunes après avoir lu tes inepties vont tous nous prendre pour les vieux cons qu’on est en train de devenir, en plus je fais péter aussi le 600m/h, je suis mal barré.
Posté en tant qu’invité par levieux:
après avoir lu tes inepties
Alzheimer n’est pas loin, sniff
de là à ce qu’ils nous transforment en soleil vert …
Posté en tant qu’invité par X@v.:
c’est terminé depuis belle lurette A2 maintenant c’est FRANCE 2 !!
X@v.
Posté en tant qu’invité par Astiaou:
Je comprends mieux ton/notre univers enchanteur, Alzheimer+Soleil Vert, on est plus que mal barrés tous les deux
Posté en tant qu’invité par Nicolas Combe:
Salut à tous,
Quel sujet ! Et quel débat !
Etant coach et ami de la vainqueur de la PDG 2006, je peux vous certifier qu’il est possible de faire claquer un record, de gagner une grande compétition en ski-alpinisme et en même temps d’être une passionnée de la nature, du sport, de l’amitié, de la montagne sans prendre AUCUNES SUBSTANCES INTERDITES !
J’ai personnellement arrêté il y a quelques années le cyclisme de compétition pour cette raison, alors ce n’est pas maintenant que je vais commencer, ni inciter personne à le faire !
A bon entendeur salut !
Posté en tant qu’invité par levieux:
merci Nicolas pour ta réponse. je voudrais te poser une question:
Pourquoi les records en alpinisme et ski alpinisme explosent depuis ces 10 à 15 dernières années alors qu’il y a 50 ans ce n’était pas le cas.
A cet époque on avait de grands alpinistes (humbles, qui avaient la plume facile et qui ne se prenaient pas pour des élites ) et il ne me semble pas que l’homme a évolué entre temps d’un point de darwinien.
Posté en tant qu’invité par Jipé:
Le matériel a évolué et les esprits aussi, c’est pas le cas de tout le monde !!!
Posté en tant qu’invité par levieux:
Ah Ah Ah elle est bien bonne celle la, tu n’as rien trouvé d’autre à dire!
j’ai vu recement un reportage d’époque de toute beauté avec Walter Bonnati et ses camarades (et non coéquipier) lors de l’ascension du K2. Il fallait voir leur équipement (moufle en laine, tente en tissu classique, etc…)
Prenez en de la graine ou allez faire un tour la-bas pour apprendre l’humilité face au K2
que vous seriez d’ailleurs incapable de gravir même avec vos sois-disants equipement hightech.
Et je ne vous laisserez pas dénaturé à tout va la pratique de ce sport.
Posté en tant qu’invité par Pïerre:
levieux a écrit:
Ah Ah Ah elle est bien bonne celle la, tu n’as rien trouvé
d’autre à dire!j’ai vu recement un reportage d’époque de toute beauté avec
Walter Bonnati et ses camarades (et non coéquipier) lors de
l’ascension du K2. Il fallait voir leur équipement (moufle en
laine, tente en tissu classique, etc…)
Ses camarades et non coéquipiers…
L’exemple est particulièrement mal choisi. Je ne sais pas trop si tu sais ce qui s’est passé pendant cette expé mais Bonatti et ses « camarades » sont revenus en « pas très bons termes ». 50 ans après ils ne sont toujours pas réconciliés.
A part ça je ne vois pas le rapport avec la PDG.
Posté en tant qu’invité par gilles:
Je ne comprend pas le fond : le fait que la PDG (contrairement à la vaste majorité des autres épreuves) ne pratique pas de contrôles anti dopage te suffit à affirmer que l’ensemble des compétiteurs sont tous dopés ?
Un peu léger…
Ayant cotoyé de près certains grands noms du ski alpinisme, je peux te certifier que si ceux-ci ont arrêté d’autres sports plus ‹ sulfureux ›, c’est bien pour retrouver dans le ski alpinisme un sport encore propre, à l’époque où les contrôles étaient moins systématiques. Et leur plus beau résultat, c’est d’arriver à montrer que sans dopage, on peut être devant. Jetter le doute sur cette activité, c’est cracher au visage des Bibollet, Bochet, Gignoux, pour ne citer que les plus connus…
Comme dans toute activité, les performance des générations nouvelles surpassent celles des anciens : en escalade, en alpinisme, etc. Voir Mummery (déjà) ‹ la course la plus difficile des alpes › qui deviens petit à petit ‹ une course pour dames › (ceci dit sans vouloir offenser les dames, qui surclassent bon nombre de messieurs). On peut très bien reconnaître la valeur des exploits du passé, et applaudir les performances du moment. Membre d’un CAF organisateur de compétition, je peux t’assurer qu’entre les plus anciens et les jeunes, ce débat est clos depuis longtemps…
Ca semble évident, tu n’a aucune idée de ce que représente l’entraînnement et les sacrifices nécessaires pour se hisser vers le haut des classements. Hygiène de vie, plans d’entrainnement, nutrition, sans oublier bien sûr le matériel. Comme dans toute activité, c’est bien la compétition qui tire les fabricants de matériel vers le haut. Est-ce que tu ferais tes 600 m/h en Yéti et Silvretta 404 ? D’ailleurs, quelle satisfaction tu tires de cette capacité à aller un peu plus vite que la moyenne… D’ailleurs qu’est-ce que tu sous-entend vis à vis de ceux qui n’y arrivent pas ? Et ferais-tu partie de ces mesquins qui poussent le vice jusqu’à accélérer, quand un ‹ collant pipette › tente de dépasser en faisant une trace parallèle dans 30 cm de fraîche ?
Et quand tu met une frontière entre le monde des compétiteurs et les autres activités de montagnes, quelle ignorance ! Nombreux sont issus de milieux montagnards guides, pisteurs, moniteurs de ski, bergers, exploitants forestiers, la p
Posté en tant qu’invité par gilles:
La suite du message précédent.
Et quand tu met une frontière entre le monde des compétiteurs et les autres activités de montagnes, quelle ignorance ! Nombreux sont issus de milieux montagnards guides, pisteurs, moniteurs de ski, bergers, exploitants forestiers, la pluspart pratiquent également l’alpinisme, l’escalade, le ski de pente, les treks ou les expéditions. Et avec un palmarès très loin de se limiter à Chamechaude. Et c’est pas parce qu’on se tire la bourre sur un parcours chronométré, quite à avoir la langue un peu pendante à l’occasion, qu’on oublie de profiter du paysage dans des occasions plus propices…
C’est quand même curieux d’avoir ce débat au beau milieu d’un superbe WE prolongé avec une météo tip top, pour des amateurs de montagne ? Avec mon collant et ma pipette, j’ai pu découvrir à ski trois nouveaux coins ce WE, l’Aig D’Olle, le Charbonnel, et la Grande Casse (pte face N en poudre, le rêve). Je pense pas que j’aurrais pu seulement penser enchaîner tout ça avant d’être passé par la compèt…
Mort aux cons.
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par Richard V.:
D’ac avec ce que tu as écrit, et d’ac que le vieux devrait aller à l’hospice.
Pour le reste (pas spécialement lié à ton post) : je crois, le fait que les athlètes de ski de montagne s’entrainent comme des bêtes ne signifie pas forcément qu’ils ne se dopent pas… Lance Armstrong n’a pas gagné moults tours de France en se piquant sur son canapé, se branlant la nouille devant Drucker. Et puis l’argument « pas d’argent pas de dope » est, je trouve, assez naïf vis-à-vis de la nature humaine… Et puis encore « pas de contrôles positifs donc pas de dopage » est à pisser (!) de rire.
Voilà, bon, y’a pas de quoi s’énerver, hein…
Posté en tant qu’invité par levieux:
je connais l’histoire:
tire de alpinisme.com
"
En 1954, une expédition nationale italienne s’apprête à partir au K2 (voir aussi le K2 dans notre article « les 14 8 000 »). Bonatti est invité à y participer. Malgré son jeune âge, son talent ne passe pas inaperçu. Mais, ce qui aurait dû être une grande aventure tourne au drame.
Le 30 juillet 1954, Bonatti passe une nuit dramatique à plus de 8 000 mètres qui va bouleverser sa vie. Le jeune grimpeur de 24 ans avait monté des bouteilles d’oxygène avec Mahdi, porteur d’altitude pakistanais pour ses compagnons d’expédition.
Le camp où se trouve Lino Lacedelli et Achille Compagnoni est situé à 8 100 mètres d’altitude mais le camp est introuvable… Bonatti explique que Lacedelli et Compagnoni les ont purement et simplement abandonné. Le porteur et Walter Bonatti passeront la nuit dans une cavité creusée dans la glace, sans aucun équipement pour affronter une tempête qui les torturera la nuit durant.
Les deux compagnons d’infortune survivent miraculeusement à cette nuit cauchemardesque.
Tandis qu’ils redescendent en direction du camp de base, les deux autres grimpeurs rejoignent le sommet. Mahdi sera gravement gelé aux pieds et aux mains. Les blessures de Bonatti seront moins physiques mais tout aussi sérieuses.
"
A cette époque les problèmes de communication sont à l’origine de cette situation.
Maintenant avec le téléphone satellite ca ne risque pas de se reproduire.
le rapport avec la pdg : nous etions en train de discuter sur l’evolution de l’equipement pour la réalisation des performances.
Posté en tant qu’invité par levieux:
Richard V. a écrit:
D’ac avec ce que tu as écrit, et d’ac que le vieux devrait
aller à l’hospice.
Et ca fini comme lors de la canicule en 2003.
Merci Richard pour tes parents.
Posté en tant qu’invité par levieux:
gilles a écrit:
La suite du message précédent.
Et c’est pas parce qu’on se tire la
bourre sur un parcours chronométré, quite à avoir la langue un
peu pendante à l’occasion, qu’on oublie de profiter du paysage
dans des occasions plus propices…
Va dire ça au collant pipette que j’ai vu il y a un an au grand colon : il a enlevé ses peaux
sans déchausser et est redescendu pour faire un autre sommet. En une minute il a eu
le temps d’admirer la beauté des montagnes. Ben voyons.
Avec mon collant et ma pipette, j’ai pu découvrir
à ski trois nouveaux coins ce WE, l’Aig D’Olle, le Charbonnel,
et la Grande Casse (pte face N en poudre, le rêve). Je pense
pas que j’aurrais pu seulement penser enchaîner tout ça avant
d’être passé par la compèt…
Et en plus tu te mets en avant sans t’en rendre compte
Mort aux cons.
Et mal poli en plus de ça. Tu es le digne representant des collants pipettes.
Posté en tant qu’invité par levieux:
gilles a écrit:
Je ne comprend pas le fond : le fait que la PDG (contrairement
à la vaste majorité des autres épreuves) ne pratique pas de
contrôles anti dopage te suffit à affirmer que l’ensemble des
compétiteurs sont tous dopés ?
Un peu léger…
Il n’y a pas de honte à accepter les contrôles. Ca remettra les choses à plat.
Ayant cotoyé de près certains grands noms du ski alpinisme, je
peux te certifier que si ceux-ci ont arrêté d’autres sports
plus ‹ sulfureux ›, c’est bien pour retrouver dans le ski
alpinisme un sport encore propre, à l’époque où les contrôles
étaient moins systématiques. Et leur plus beau résultat, c’est
d’arriver à montrer que sans dopage, on peut être devant.
Jetter le doute sur cette activité, c’est cracher au visage des
Bibollet, Bochet, Gignoux, pour ne citer que les plus connus…
Ce doute est tout a fait légitime en soit, il y a eu trop d’antécedent.
Membre d’un CAF organisateur de
compétition, je peux t’assurer qu’entre les plus anciens et les
jeunes, ce débat est clos depuis longtemps…
Alors pourquoi il ressurgit sur ce forum a travers le post d’alexsimon
Et ferais-tu partie de
ces mesquins qui poussent le vice jusqu’à accélérer, quand un
‹ collant pipette › tente de dépasser en faisant une trace
parallèle dans 30 cm de fraîche ?
Débat récurrent.
Posté en tant qu’invité par X@v.:
ca me fais bien rire les remarques d’une personne qui ne connait rien à la compétition mais qui se permets de juger son fonctionnement.
cela fait penser au systéme européen, on prends des décisions à bruxelles pour un corp de métier à des milliers de kilométres.
X@v.
Posté en tant qu’invité par Coco:
et hop, un p’tit coup d’anti-européanisme primaire… cf le post sur le poids !! 
Posté en tant qu’invité par Zébulonne:
Le vieux, je t’ai trouvé un super plan pour admirer tranquillement le paysage et arrêter de nous e… et de nous pourrir la joie que nous a procuré cette magnifique PDG : va prendre le train Montreux-Gstaad : magnifique vue, t’es peinard les fesses sur ton siège et y’a même des voitures avec le toit en verre pour encore mieux admirer le paysage!!.
Moyenne d’âge : entre 60 et 80… Juste pour toi quoi!
Tchô