En ces temps de pandémie, il semble qu’il y en ait une qui touche les espaces grimpables, ces dernières années: leur réglementation.
On est loin des « fous du Verdon » et autres pieds nickelés grimpeurs, poètes bidouilleurs, peace and lovers des parois et Macgyvers du caillou…!
En tout cas, par ici, des interdictions et/ou restrictions fleurissent de toutes parts. Après Roche Rousse, Méolans, Sigottier, Ventavon, La Roche des Arnauds, voilà Céüse qui fait des siennes.
Bon, maintenant, vu que la procédure judiciaire ne fait pas de quartier et rôde dans tous les recoins du monde, on comprend que les municipalités craignent le bûcher à chaque hématome!
Qu’on se rassure, à Céüse, il reste le 9 pour s’entraîner sans modération!
Des restrictions à la pelle?
De plus en plus de monde grimpe… sans culture de l’escalade en extérieur… Donc ça explique pas mal tout ça 
Je sais pas si tu as suivi l’affaire… mais il y a tout une série de maillons rapides peguet qui ont un gros défaut de fabrication. Cette série a été utilisée pour équiper les maillons relais de tout un tas de voies à Ceûse, celles concernées par l’arrêté. L’interdiction sera levée quand Laurent Girousse aura été changer les maillons en question…
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Ouais, j’ai vu ça: cf, photo jointe.
Ici, pour cette raison ailleurs pour une autre…
Parce qu’avant il y aurait eu moins de pratiquants, alors leur sécurité comptait moins…
Ouais, peut-être. Va savoir!
Pas du tout, mais avant avec moins de grimpeurs, ils étaient souvent mieux formé car n’avait pas comme seule expérience les salles publiques ou les salles de bloc, et donc beaucoup moins d’accident.
C’est l’augmentation de participants, et de participants non expérimentés, qui a fait augmenter le nombre d’accidents, de dégradation, et donc de restrictions.
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Je vois pas trop en quoi une meilleure formation fera que le maillon avec un défaut ne cassera pas ?
C’est la même chose à ski, si t’as une solide formation en nivologie, dans une pente à 35 ° par risque 4 l’avalanche part pas ?
Accessoirement, j’ai déjà posté le sujet y’a un peu plus d’1 mois
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« ils étaient souvent mieux formé car n’avait pas comme seule expérience les salles publiques ou les salles de bloc, et donc beaucoup moins d’accident.
C’est l’augmentation de participants, et de participants non expérimentés, qui a fait augmenter le nombre d’accidents, »
Tu as des sources, des chiffres, des enquêtes pour étayer tout ça.
Ça m’intéresse.
Rien à voir, c’est la judiciarisation de la société et la recherche multiple de responsabilités.
Fais une expérience, va déclarer un accident à ton assurance.
Premiere question : vous vous êtes faits ça tout seuls ?
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A Ceüse, peut-être, à la Pelle, pas vu de restrictions.
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Hum…!
Attends un peu…
Mais, elle est bonne! j’avoue.
Tu as des précisions pour Sigottier et Roche des Arnauds ?
Pour ce qui concerne Sigottier.
Pour La Roche, actuellement le site est de nouveau accessible, après la dernière purge. Mais des voies ont été déséquipées et le seul arbre qui prêtait son ombre salutaire, sur ce site-fournaise, a été décapité dans l’affaire!
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Ou un autre ?
Si jamais vous avez l’âme d’un équipeur en herbe, ça pourrait alléger la charge de travail (bénévole ?) de certains.
il faudrait dans ce cas négocier avec les pouvoirs publics l’autorisation de grimper pour aller changer les maillons
Ouais, à priori, nul n’est autorisé à faire ce boulot, s’il n’est pas dûment mandaté et professionnel reconnu.
C’est la norme: tout doit être réglementaire, mon capitaine!
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C’est nul