Là-dessus je suis bien d’accord.
Mais je ne suis pas juge en charge d’une affaire dramatique.
De l'utilité des DVA
Sans casque je n’y vais pas, sans DVA j’y vais. Le DVA c’est juste une chance supplémentaire aux cas où un truc qui ne devrait pas arriver arrive quand même. Si tu es emporté par une avalanche tu dois avoir quelque chose comme 1 chance sur 4 d’y passer sans que le DVA y puisse quelque chose. Se prendre une avalanche n’est pas quelque chose d’acceptable, avoir un accident où le casque est utile est nettement plus acceptable (d’ailleurs le casque n’est-il pas au moins aussi utile en cas d’avalanche que le DVA ?)
Oui, c est bien plus rare en général d’avoir besoin d’un DVA que d’un casque, c est vrai.
Mais je doute de la capacité d’un casque à rester sur la tête lors d’une avalanche. Mais peut être. Après si c est des endroits avec des risques que qqch me tombe sur la tête, là pourquoi pas.
Je vois très peu de monde en rando avec un casque. Même en rando alpi.
Ça ne semble pas s’être imposé comme en escalade (ou en vélo).
Perso je le prends tout le temps (et ça protège aussi du soleil).
En rando ski, ca me semble de + en + fréquent.
Si la jugulaire est mise, pourquoi partirait il ? Il épouse la tête et ne semble pas un problème ?
ça a pas dû passer la frontière Suisse alors.
Perso si je vois 5 % des skieurs avec un casque c’est bien le maximum.
Dans mon club c’est pas mal une question de génération : tous les skieurs de moins de 30 ans ont toujours skié avec un casque (en station) et les grimpeurs ont aussi l’habitude du casque, donc pour certains c’est naturel (ce qui ne veut pas dire que tout le monde le met même chez les jeunes)
A la grosse, on doit être pas loin de 25/30% de casqués (je parle de rando à ski classique ni raide ni glaciaire)
Moi je l’encourage mais je ne le met pas (encore) moi-même, c’est un peu contradictoire…
On n’en met pas mais on se pose sérieusement la question.
Comme Bens, je pense qu’il est utile … mais je n’en ai même pas …
Depuis que je suis passé au trike, même en vélo, je ne le mets plus … ça reste qd même une contrainte ce truc je trouve !
un casque léger, tu le sens même plus sur la tête (j’ai le D4, 180 g). De toute façon je l’ai tout le temps en escalade/alpi donc habitué, comme pour la ceinture en voiture.
Quand il fait très froid, je mets un casque de ski (de piste), ça fait bonnet.
Pourquoi pas scinder la discussion :" De l’utilité du casque."
y’en a déjà beaucoup
https://forum.camptocamp.org/search?expanded=true&q=casque%20in%3Atitle
En lisant des compte rendu de cette saison sur data-avalanche, sur ce que j’ai lu au moins 5 personnes ensevelis complétement, et retrouvées grâce au DVA vivantes…Ce message s’adresse aux débutants et à ceux hésitant; ne vous laisser pas enfumer par des discussions de ceux qui veulent remettre en cause des faits pourtant bien documentés. J’en profite pour ajouter au cas où que la terre n’est pas plate non plus…
Autant je suis d’accord pour le casque et pour le DVA, mais pour la forme de la Terre ? Tu es sûr de ce que tu avances ? Quand je regarde autour de moi c’est plutôt plat hein
sans sonde ni pelle je dirai aucune
Pourquoi ne pas mettre son DVA sous son casque
Intrinsèquement, l’utilité du DVA n’est pas à discuter et quand bien-même, c’est à celui qui le porte (ou non) de l’apprécier. On pourrait s’interroger de la même manière à propos de l’airbag ou encore du BRA.
Autre réflexion sur les conditions nivologiques sans doute de plus en plus versatiles, spécialement en début d’hiver et jusqu’au printemps : le kit DVA-pelle-sonde me paraît être une précaution adaptée.
La question peut aussi se poser en alpinisme, goulotte, mixte ; dès lors qu’un ensevelissement est possible.
Sauf que le DVA est aussi pour les autres !
NB : Je pense que tous les guides ont des histoires d’avalanche par risque 2…
Egalement. Libre à chacun d’accepter ou non de sortir avec un équipier qui n’en est pas équipé, tout comme de l’allumer de concert avec les autres participants.
Mais c’est une autre question et cela ne change rien à l’utilité de l’appareil.
Oui, risque 2, voire 1 : sauf là où elle s’est déclenchée.
Même lorsque je pars solo, je prend le kit : je peut ainsi aider ( ou le cas échéant me faire aider).