Posté en tant qu’invité par Rozenn:
Il pleut sur Paris et c’est la déprime…
Je cherche désespérement la lumière (celle de la neige) sur C2C mais rien à faire…
Si encore j’étais à Lyon, je pourrais m’occuper de mes skis, les bichonner, les décrotter de la terre des Ecrins du mois de mai qui est encore collée sous la semelles et que je regarde avec tendresse à chaque fois que je passe aux toilette (oui, les skis sont stockés dans les toilettes, on a l’espace qu’on peut…)
Le seul sentiment positif que peuvent me procurer ces scénari prospectifs pas réjouissif c’est de me dire que c’est dans la maîtrise DES sports de montagne qu’on peut trouver son bonheur. Le dérèglement climatique c’est (anthropocentriquement considéré sans égard au terrain de jeu lui même…) la fin des mono-obsessionnels. Ou mono-tâche passionné, ce qui revient à peu de chose au même.
Entre le ski de rando, l’alpinisme, l’escalade ou la cascade de glace, peut-on considérer que la durée globale des réjouissances que chacun s’accorde reste la même; seules les activités variants…?
J’ai l’art de parler pour ne rien dire mais… qu’est-ce que je m’emmerde, là…