[quote=« marian, id: 1849970, post:17, topic:167632 »]quand tu vois les cordées de 6( ou plus) pelerins de l est avec 40kgs sur le dos encordés a moins de 3m…
c est pas un petit bonhomme seul avec un petit sac qui va passer a travers les ponts de neige…
/[/quote]
cites mon texte en entier, tu veras que c est une comparaison,… pas une certitude.
t es journaliste? 
Il aura beau citer ton texte tout entier ça n’en restera pas moins un peu neuneu ce que tu as écris… :rolleyes:
alors j assume pleinement mes conneries. :rolleyes:
C’est pas une connerie, c’est une comparaison statistique du risque. Mais c’est tabou, en public, pour cette question solo glacier.
Faut respecter la tradition, sinon t’es un fou.
Ah oui ? Qu’est ce qu’il y a de statistique dans tout ça ?
Une étude statistique est fondée sur un échantillon de données (non négligeable), pour le moment je n’en ai pas encore vu.
Et ça ne sert à rien d’évaluer la probabilité de passer à travers un pont de neige selon qu’on soit encordé ou solo light, ce qui serait plus probant serait d’évaluer la proba de passer à travers un pont de neige et d’en ressortir vivant selon qu’on soit encordé ou solo light alors. C’est la que la corde peut servir…
[quote=« BigJim, id: 1850110, post:20, topic:167632 »]
C’est quand même beau les certitudes… et accessoirement dangereux…[/quote]
Effectivement, il y a toujours un risque, et le jour où on commence à croire au risque zéro, c’est en général le début de la fin, ce qui justifie ma demande ici.
Néanmoins, merci à tous pour vos avis précieux, effectivement Marian ce que tu énonces permet de relativiser un peu le danger existant.
Merci aussi Nineric pour le retour d’expérience, j’imagine que dans 10 jours les conditions seront encore moins propices aux réjouissances dans le couloir du Goûter.
Oui ! il y a des crevasses sur les voies normales du Mont-Blanc.
Il y à également des séracs dans la voie des trois monts.
D’autre risques ne sont pas à exclure, comme:
Se casser la figure en descend l’arête des bosses.
Se casser la figure en descend l’arête du gouter.
Se prendre une pierre en traversant le grand le couloir.
Ne pas retrouver son chemin dans le mauvais temps.
Bref…c’est de la haute-montagne. Ne te focalises pas
sur le risque des crevasses, mais sur le risque global.