Posté en tant qu’invité par typloum:
Salut,
Qq idées de course faciles en rocher dans les Ecrins ? avec un brin de 50m en 8,6 et quelques anneaux de sangles…peut être qq coinceurs.
Merci
Je pense déjà à:
Arete de la Bruyère
Tete Nord du replat
Courses faciles en rocher
Posté en tant qu’invité par martel:
la Davin à l’Aiguillette du Lauzet ,dans le cirque du Soreiller: l’arête Sud de l’aig
Orientale,c’est une voie Fourastier,très belle ,rocher excellent,500m AD.
la VN de la Dibona,
ou si tu tues en forme la voie Boël,AD+ ,D-
Posté en tant qu’invité par Tintin:
C’est jusqu’à quelle difficulté facile pour toi, et à quelle époque veux tu y aller ?
maintenant ?
Posté en tant qu’invité par martel:
la voie Boell à la FS de la Dibona, c’est du 4a,4b,avec plusieurs pas de 3c.
Posté en tant qu’invité par typloum:
Facile c’est jusque 4 montagne
Je pars pour 12 jours le 6 septembre.
Merci pour les idées.
C’est ptete mieux avec qq coinceurs dans la voie Boell et la VN non ?
La Boell se fait avec un seul brin de 50m en 8,6 ?
Posté en tant qu’invité par Nouky:
L’arête des Papilons à l’aiguille d’Entre Pierroux au dessus du refuge de la Lavey
Posté en tant qu’invité par martel:
en principe une corde 8,6 mm s’utilise en double,mais bon en faisant des relais plus fréquent, ça peut marcher,quelques sangles et friends, sont utiles.ilya un passage en 4
à droite des cannelures Stoffer mais c’est bien équipé,(les ouvreurs ont utilisés 1 piton!)
pour la descente en VN le dièdre de 20m se descend en rappel à partir du gros
bloc,50m de corde un peu justo, mais ça suffira,si tu es attentif.
Posté en tant qu’invité par martel:
n’oublie pas qq dégaines bonne course
Posté en tant qu’invité par typloum:
la VN sera déjà bien pour commencer le rocher. Et puis je ne m’engagerai la dedans qu’avec un 2e brin, c’est quand même plus sur.
Merci en tous cas.
Posté en tant qu’invité par martel:
bonne idée,mais ne jamais passer les 2 brins sur la mème dégaine ou ancrage
car tu double la force de choc(env 600Dan par brin x 2= 1200dan)c’est beaucoup trop
Posté en tant qu’invité par p’tetbenquoui:
un brin est couramment utilisé pour les courses faciles, les arrêtes…
par contre, pour des courses d’initiation en rocher, je suis pas sur que des courses de 500m où l’on doit tenir un horaire, ou la face sud de la dibo assez paumatoire, soit vraiment à conseiller.
arrête de la bruyère : un peu patiné au début (sur qqes mètres, dans le pas un peu plus dur), mais facile et joli. bcp de pitons, prendre qqes coinceurs.
sinon, l’aiguille noire peut être sympa pour de l’initiation (ok, c’est les cerces, mais c’est pas loin, cf topoguide http://alpinisme.camptocamp.com/sortie8412.html?uid=13513).
papillons : appelle le gardien de la lavey pour voir si la descente passe avec un brin de 50. si ok, tout de bon.
le pic gény peut être sympa aussi, un peu long mais pas trop.
arrête sud du pic nord des cavalle, magnifique et dans le niveau recherché.
nb : gény, cavalles et replat partent du chatelleret, cela peut être sympa de « grouper » les trois courses, en finissant par le gény. du coup, comme tu bascule sur le soreiller, tu poursuiveras ton séjour là bas ! (VN de la dibo,…)
Posté en tant qu’invité par typloum:
Sauf si équipement béton non?
Sinon oui, un brin sur 2
Posté en tant qu’invité par typloum:
Merci pour ces précisions
Posté en tant qu’invité par typloum:
J’ai un peu de mal avec les longueurs de corde. Quand les topos C2C indiquent 50m je suppose qu’il s’agit de 2x50m.
Si on prend un brin c’est plutot de la corde à simple bien solide non?
En gros peut on faire du rocher, sans faire de l’escalade raide en tête bien sur, avec un brin de 50m en 8,6.
L’arete sud du Pic Gény passe avec un seul brin?
Désolé d’insister mais ce n’est pas clair dans les cas de courses pas difficiles.
Pas de soucis en grandes voies, corde à simple et mieux=corde à double 50m
Posté en tant qu’invité par Tintin:
typloum a écrit:
J’ai un peu de mal avec les longueurs de corde. Quand les topos
C2C indiquent 50m je suppose qu’il s’agit de 2x50m.
si il n’est pas question de rappel, c’est en théorie ou une corde à simple de 50m (donc plus épaisse), ou une corde à double
Si on prend un brin c’est plutot de la corde à simple bien
solide non?
plutôt…
En gros peut on faire du rocher, sans faire de l’escalade raide
en tête bien sur, avec un brin de 50m en 8,6.
si tu es bien conscient des limites de ta corde, ça peut le faire : ne pas prendre une succession de gros plomb, ne pas tomber sur une arête coupante, ne pas faire tomber de pierres sur ta corde…
L’arete sud du Pic Gény passe avec un seul brin?
Désolé d’insister mais ce n’est pas clair dans les cas de
courses pas difficiles.
pour l’arête E du pic Gény, je l’avais fait un prenant un seul brin, mais utilisé à double = encordement à 25m. c’est je trouve le top sur les arêtes, avec la possibilité dans les sections horizontales de progresser un brin de chaque coté du fil.
Attention néanmoins pour le Pic Gény : c’est facile en début de saison quand tu attaques par le glacier, mais quand le glacier ne passe plus, il faut attaquer plus bas sur l’arête et c’est plus dur je crois (mais je n’ai pas fait cet attaque).
Pas de soucis en grandes voies, corde à simple et mieux=corde à
double 50m
oui !
Posté en tant qu’invité par p’tetbenquoui:
[i]> pour l’arête E du pic Gény, je l’avais fait un prenant un seul
brin, mais utilisé à double = encordement à 25m. c’est je
trouve le top sur les arêtes, avec la possibilité dans les
sections horizontales de progresser un brin de chaque coté du
fil.[/i]
idem, avec un seul brin, mais utilisé à simple. moins « sécu » (encore qu’il y a peu de passages tranchants sur cette arrête), mais plus modulable (il est plus facile de défaire les anneaux et de moduler la longueur de corde ainsi).
[i]> Attention néanmoins pour le Pic Gény : c’est facile en début de
saison quand tu attaques par le glacier, mais quand le glacier
ne passe plus, il faut attaquer plus bas sur l’arête et c’est
plus dur je crois (mais je n’ai pas fait cet attaque).[/i]
c’est iso dans mon souvenir, à part un pas. par contre, ça rallonge un peu, ce qui peu être un soucis pour des premières courses où l’on manque d’efficacité et où l’on a tendance à exploser les horaires.