Je vais être un peu pénible, mais pas trop méchant. Merci de m’indulger sur les bords.
N’avais jamais lu. Avec un s. Car c’est JE le sujet.
Et, heu, sur le fond, comment connaître un livre si on ne l’a pas lu, hein, comment, je vous le demande.
Alors, c’est pas pour me répéter mais quand même : l’alpinisme, c’est pas encore réglementé, et c’est chouette, parce qu’on peut s’offrir exactement le degré d’engagement qu’on veut. Personne n’oblige à sortir les chaussons derniers cris à 300 boules, ni les piolets hign-tech qui tuent, ni la gore tex qu’il fait trop chaud à -35°c, ni même le compagnon de cordée qui pue des pieds et ne possède plus que 3 neurones (mais passe du 6c en tête toutes conditions, du coup le ED++ c’est de la rigolade, suffit de gueuler « sec bordel »).
La vache, je sais pas. Mais l’engagement en alpinisme : tu fais bien comme tu veux, à partir du moment où tu la racontes pas trop sur c2c.
(ou alors tu te paies le billet d’avion jusqu’au Montagnistan, la vache, là par contre c’est cher, c’est quand même moins onéreux de se taper le Tanet par la face nord en tongues - mais ce n’est que mon avis, avec un bilan carbone qui va bien).
Houla. De mémoire : nul. Le troisième est moins raté, toujours de mémoire, sans égaler toutefois le génie du premier tome.
Premier tome que l’auteur lui-même semble réduire à un simple pamphlet pour que la FFFFrannnnce relève la tête - le truc à été écrit à une période ou la nation avait le moral en berne - toujours de mémoire, message 100% exempt de wikipedia, pour changer, n’hésitez pas à me corriger si je m’abuse.