Posté en tant qu’invité par gilbert:
Qui peux nous donner des renseignements recents sur cette cordillere nous comptons y aller en août
merci
Posté en tant qu’invité par gilbert:
Qui peux nous donner des renseignements recents sur cette cordillere nous comptons y aller en août
merci
Posté en tant qu’invité par paul:
On était en HUAYHUASH cet été.
On est passé par une agence de Huaraz qui a elle même contacté un cuistot muletier qui s’appelle Wilfredo. Wilfredo connait trés bien la cordillère (bon plan pour faire des variantes), il habite à Llamac, il trés sympathique, cuisine trés bien. Wilfredo cherche à du travail pour cet été. Donc tu peux soit le contacter directement soit contacter l’agence en demandant d’avoir spécifiquement ce gars.
Contacte moi sur ma messagerie perso Pour avoir les adresses.
Posté en tant qu’invité par AB:
J’ai été dans la cordillère huayhuash en août 2005.
Je vous conseille de vous procurer le guide Lonely Planet Trekking in Central Andes qui reste le meilleur. On trouve des cartes de la région à Huarez.
L’adresse http://www.i-needtoknow.com/huayhuash/faqs/05.html
donne des renseignements très précis en anglais qui se sont révélés fiables.
Question temps, il fait beau le matin, le temps se couvre vers 2 heures deux jours sur quatre, il se met ensuite à pleuvoir ou neiger en fin d’après-midi. Il gèle la nuit.
Le chemin est évident à suivre. Pour les variantes, par contre il faut savoir lire une carte et avoir une boussole.
On trouve de l’eau partout. Pas de ravitaillement sauf dans un petit village. Il faut avoir de la nourriture pour 6-7 jours donc et pour les prudents popur la totalité 10-12 jours.
Il n’y avait pas besoin de permis en 2005. On pouvait circuler comme on veut.
Il est possible de faire le trek seul (je n’en ai fait que la moitié ainsi à vrai dire), sans arrierro et sans animaux. Il faut alors du matériel de camping et être prêt à transporter un sac très lourd (jusqu’à 25-30 kg au départ). On trouve des bouteilles de gaz à Huarez (qui vient de Corée) et je suis arriver à cuisiner des soupes à 4800 mètres, bien qu’on m’ait annoncé que c’était impossible. Sinon il faudra utiliser un autre carburant plus efficace.
A noter les problèmes latents dus à l’altitude. Un sujet de préoccupation pour ceux qui ne savent pas à l’avance comment ils réagissent.
Pour les agences on en trouve à profusion. Je n’ai pas de conseil à vous donner.
Bonne chance pour cet été.
Posté en tant qu’invité par gilbert:
merci de tes conseils
nous partons le 3 aout
gilbert