Posté en tant qu’invité par BBR:
Euh dans les années 20, « ils » n’allaient pas à 7000m. Voilà comment « ils » faisaient
Posté en tant qu’invité par BBR:
Euh dans les années 20, « ils » n’allaient pas à 7000m. Voilà comment « ils » faisaient
Posté en tant qu’invité par Stef:
Bonjour Eric,
Non, passer un test d’effort en hypoxie, ce n’est pas la sécurité.
Parce que le test que j’ai fait donne en général les résultats suivants (ce ne sont pas des interprétations de ma part, ce sont 2 médecins qui me l’ont dit) :
Qu’est-ce que cela signifie pour une personne « moyenne » :
Le test, en quelque sorte, n’est utile que pour les 5% en dessous.
Les 5% au-dessus devront toujours faire attention, même s’ils sont physiologiquement bien armés pour aller en altitude.
Les 90% dans la moyenne devront y aller très progressivement.
Oui, le taux de saturation est important.
Il est de 97% pour tous au niveau de la mer.
Si vous vous retrouvez « propulsé » virtuellement à 4800m d’altitude pendant le test d’effort en hypoxie, ça va tomber à 72-75% pour une réponse « moyenne ».
Vous vous direz alors : « adieu l’Everest ! ».
Mais si vous séjournez 2-3 jours à 4800m, avec un peu de Diamox en préventif, il se peut que votre taux de saturation remonte à 89-90% (je suis remonté à 93%).
Où se situe la vérité ?
Est-ce pour autant l’assurance de pouvoir monter très haut ?
Non.
Et heureusement !
La montagne n’est pas une science exacte… et c’est pour ça qu’elle est si belle !..