Posté en tant qu’invité par JoeFuchan:
Bonjour tout le monde,
Je tenais absolument à apporter mon témoignage sur le mal lié à une compression du nerf cubital. En effet, j’ai consulté ce forum il y a un an parce que je venais de ressentir les symptomes que les personnes atteintes décrivent, à savoir :
- fourmillement du petit doigt et de la moitié de l’annulaire. Diagnostic du médecin: compression du nerf cubital.
Je précise que cela était probablement dû au temps apssé devant mon ordinateur.
Je dis « était » car aujourd’hui je n’en souffre plus. J’aurai dû passer un EMG (j’avais l’ordonnance) mais vu le délai d’attente dans ma région, j’ai fini par abandonner.
A l’époque, je me voyais déjà sur une table d’opération et ça m’embêtais vraiment.
Fort heureusement, je n’ai pu dégager le temps nécessaire pour ça et je suis allé voir mon chiropracteur qui me soignais déjà pour mes cervicales.
J’ai donc été manipulé au niveau de coude et au niveau de la jonction cervicales-thoraciques.
Sur le coup, aucune amélioration. Après encore quelques mois, tjs pas d’amélioration. Je tiens à préciser que mon chiro, à qui je rends visite chaque mois en guise de prévention pour mes cervicales, insistait pour que j’aille consulter un neuro pour un EMG, afin de localiser cette compression. Mais pas le temps, donc pas fait (c’est pas bien, je sais, mais vraiment, pas le temps)
Au final, depuis un mois, je ne ressens plus ces picotements, et ma senssibilité est revenue. Je suppose (ce n’est qu’une supposition) que mon nerf à dû d’inflammer et qu’il lui a fallu tout ce temps pour cicatriser (il parait c’est long)
Conclusion: je ne sais pas si mon chiropracteur y est pour quelque chose dans ma guérison mais toujours est -il que cela est parti avec le temps.
Evidement, j’encourage les gens à se faire soigner au plus vite et a effectuer les examens adequats. Mais, je crois que la chirurgie doit constituer le dernier ressort à ce mal. Soyez patient et essayer du côté des médecines alternatives.
Voilà, j’espère avoir pu apporter un peu d’espoir à tous ceux et celles qui souffrent de ce désagréable mal.