Cinq types de pratiquants

Je te rassure, moi non plus. Mais étant donné que ce terme est devenu une « référence », je l’ai utilisé.

Hello,

contrairement à certains, je trouve que ces étiquettes mises sur des pratiques reflètent une certaine réalité. Y’a juste la catégorie « speed touring » qui me parait artificielle, et aussi le fait que selon la saison le randonneur classique va se transformer en chasseur de poudreuse.
Mais bon, c’est vrai que c’est forcément réducteur et agaçant tout ça…

Thomas

Posté en tant qu’invité par Manu:

[quote=« grimpzen, id: 1595068, post:19, topic:140354 »]Si je comprend bien ses catégories, je traduirais celles ci comme ceci :

skieurs alpinistes de compétition
skieur de randonnée performance
skieur de randonnée "classique
le skieur de rando descendeur
le skieur hors piste utilisant des peaux pour aller un peu plus loin que la pomme de Newton.[/quote]

Pourquoi est-ce que l’on applique toujours le terme de skieur alpiniste à la compétition?
Le ski alpinisme peut se pratiquer sans chrono, c’est le terrain qui compte.

Posté en tant qu’invité par DJ Népi:

[quote=« Manu, id: 1597390, post:43, topic:140354 »]Pourquoi est-ce que l’on applique toujours le terme de skieur alpiniste à la compétition?
Le ski alpinisme peut se pratiquer sans chrono, c’est le terrain qui compte.[/quote]

L’appelation est en effet « usurpée » mais elle permet de distinguer la discipline chronométrée (ski-alpi) de ce qui devient alors de la simple rando (avec un final ou une partie + ou - technique).

[quote=« DJ Népi, id: 1597405, post:44, topic:140354 »]

[quote=« Manu, id: 1597390, post:43, topic:140354 »]Pourquoi est-ce que l’on applique toujours le terme de skieur alpiniste à la compétition?
Le ski alpinisme peut se pratiquer sans chrono, c’est le terrain qui compte.[/quote]

L’appelation est en effet « usurpée » mais elle permet de distinguer la discipline chronométrée (ski-alpi) de ce qui devient alors de la simple rando (avec un final ou une partie + ou - technique).[/quote]
C’est juste une question de conventions…
Parfois le langage réserve des surprises : un arbre à cames n’est pas en bois et ne porte pas des cames comme un pommier ses pommes. Alors pourquoi pas « ski alpinisme » pour distinguer une compétition où le participant monte (surtout) et descend à ski par ses propres moyens du ski de descente ou du slalom où seule la descente compte, la remontée étant assurée par un téléski ? Ou du ski de fond qui utilise un matériel différent sur un terrain peu accidenté ? « Ski de montagne » ça faisait un peu pléonasme, et « ski de randonnée » évoquait plus « errance nez au vent et pause casse croûte au soleil ».

Posté en tant qu’invité par DJ Népi:

Il fallait un nom porteur, évocateur, synonyme de combat de gladiateurs en milieu extrême…ça fait vibrer les foules et les sponsors y trouvent leur compte…

Xtreme-Sunny Riding, Winter Stockings Contest, One-Way Altitude Deadly Fight…bof même en anglais ça l’fait pas :cool: