Posté en tant qu’invité par gaston:
Pierre Chapoutot est parti dans une avalanche.
L’alpinisme perd un de ses gardiens du temple.
Posté en tant qu’invité par gaston:
Pierre Chapoutot est parti dans une avalanche.
L’alpinisme perd un de ses gardiens du temple.
Posté en tant qu’invité par pascal petit:
où, quand, comment, c’est pas possible…
Posté en tant qu’invité par Bobby:
Triste nouvelle en effet…
Posté en tant qu’invité par Dani:
http://filinfo.france3.fr/popup_afp.php?nameRegion=raa&id=%20060120163454.h1go50id
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par l’Urbain:
Son bouquin sur la Savoie, c’est vraiment le livre qui m’a permis de faire mes premières sorties. A le lire, on pouvait deviner sa modestie et son amour sincère pour la région (il aurait pû sortir un n-ième topo sur les Ecrins ou le massif du Mont Blanc).
Et puis, que de belles voies il nous a laissées !
Triste, triste journée.
Posté en tant qu’invité par Aurélien:
Pas lui… c’est terrible. La montagne prend, même ses plus intimes amants.
Où que l’on aille en Savoie, Haute Savoie, Isère, le Chap’s est passé par là. Bien que je ne le connaissais pas personnellement, je me sens très proche de cet homme et ça doit être le cas de beaucoup de montagnards. En tous cas, courage à sa famille, mais son âme perdurera c’est sûr dans le coeur des alpinistes.
Posté en tant qu’invité par Piloune:
Tristesse…un homme remarquable s’en va
Posté en tant qu’invité par DerF:
J’ai eu la chance de le croiser par hasard l’été dernier, un grand montagnard s’en est allé…
Jetez un coup d’oeil sur son blog qui en valait vraiment le coup et qui mettait en avant sa montagne fétiche: la Meije:
Courage à ses proches.
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par J.Marc:
Grosse tristesse. Mais le Chaps sera toujours là : dans ses écrits, dans ses voies… sur une cîme inconnue de Vanoise ou quelque part à la Meije…
Posté en tant qu’invité par Charles:
Ca me fait tout bizarre : j’allais quasiment chaque jour sur le blog de Pierre Chapoutot . J’aimais beaucoup son style d’écriture . Dans un article de son site , il avait notamment parlé d’une avalanche dans laquelle il avait été pris à ski et qui avait été un tournant dans sa vie . Celle qui vient de l’ensevelir ne lui laissera malheureusement pas l’occasion de réécrire de nouvelles pages, et cela me laisse bien triste , mais j’imagine la peine de sa sa famille à qui je transmet toutes mes sincères condoléances .
Posté en tant qu’invité par jean luc Charton:
le Père Gaspard t’attend
tristesse immense des a de l’Oisans. Le Père Gaspard t’attend là-haut. Merci pour tes écrits et ces si belles traces (PIc Sans Nom, Meije). Merci aussi pour avoir soufflé l’air si pur dans ce milieu alpin qui sent si souvent le renfermé.
Posté en tant qu’invité par Stéphane Grochowski:
un homme aux paroles vraies qui touchaient tous les amoureux de la montagne, sans pommade ou cirage. Et un thème que nous oublions parfois, notre chance d’être mortel.
Même si c’est dur sentimentalement de l’accepter.
Posté en tant qu’invité par Eric:
Triste nouvelle aujourd’hui.
Un homme d’une grande culture, l’Homme de la Meije, du Rouget…
Pensées pour sa famille.
Un superbe texte de sa fille sur le dernier numéro de Cîmes.
Salut Chaps
Posté en tant qu’invité par Francois:
Adieu, le Chap’s, toi qu’on croyait indéboulonnable…
J’aurais voulu écrire un petit texte sur celui qu’il me plaisait d’appeler mon « père spirituel », quelques souvenirs de rencontre, de discussions, des choses comme ça. Puis finalement, je me suis dit « à quoi bon? »
Toute littérature serait bien vaine.
Reste une grande tristesse.
Et ce matin, j’ai appris la mort d’une amie, emportée par une avalanche sur les pentes de l’Ochsen, vers le Gantrisch, en Suisse…
Oui, vraiment, triste week end…
Posté en tant qu’invité par Tof:
Je ne connaissais pas Pierre Chapoutot. Mais à mon programme, j’avais mis les Savoyards, le bastion central, la directe 76, la face Ouest du Pic Sans Nom.
Ces courses ne sont qu’une très petite partie des 140 premières réalisées par Pierre Chapoutot, mais elles me donnent envie d’aller dans ces massifs peu médiatisés avec un rocher parfois un peu délicat.
Merci pour cela et pour toutes les autres que je prendrais plaisir à faire.
Merci également pour ce blog et ses chroniques qui ne peuvent que donner envie de s’intéresser à la littérature alpine.
Sincères condoléances aux proches.