la bête blessé ? cela n’est pas certain et c’est à la charge du responsable de l’équipage de le prouver.
De plus un arrêté n’est pas non plus un conseil à l’attention de ceux qui y croient.
pour preuve :
Pierre de Boisguilbert, secrétaire général de la Société de vénerie, est embarrassé par cet incident rarissime. Interrogé par « le Parisien », il demande :
« L’animal n’aurait jamais dû se retrouver sur cette propriété privée. Aurait-on dû arrêter la chasse plus tôt ? »
même eux se posent la question et quand y’a un doute c’est qu’il n’y a pas de doute.