Je pense au contraire que si. Pour la plupart, ca leur semblerait être à défaut de la panacée, un compromis acceptable. J’ai eu la surprise de voir qu’ils ont par exemple publié sur leur page facebook l’un des mes messages, où pourtant je ne me genais pas pour leur envoyer des piques, pour illustrer l’avis des bonnes volontés chez ctoc. Donc je n’ai pas l’impression qu’il faille leur offrir la lune pour calmer le jeu.
C’est exactement cela qu’il faut faire ! Si à l’époque on aurait pu l’accepter, pourquoi ne peut-on plus le faire maintenant? Par rancune tenace? A cause des noms d’oiseaux qui ont volés? Il faut regarder vers l’avant pas vers l’arrière, parce que l’arrière n’a pas donné grand chose de bon.
N’est-ce pas simplement l’expression d’un ras-le-bol et/ou le déroulement classique de toute négociation: arriver avec des demandes très fortes pour tenter de forcer son partenaire à un compromis dont le barycentre soit plus de son propre côté? Perso ca me semble être juste un levier / une grosse ficelle typique de négociations âpres.
Malheureusement cet avis n’est pas partagé par l’ADO, au vu de leurs dernières publications sur leur page facebook.
Je les cite: Cette charte aurait pu être une super idée et surtout un 1er pas vers les ouvreurs que C2C n’a jamais fait…
Ils attendent beaucoup de cette charte et apparement on n’est pas au RDV. Se focaliser sur Bubu est évidemment débile de leur part, puisque la grosse 20aine de votants confirme la version originale, mais là encore, faut-il y voir uniquement de la méchanceté, plutôt que de la colère et du dépit?
A mon sens, c’est un non-sens L’idée même de cette charte est née du conflit avec les ouvreurs. Faire une charte qui ne règle pas le conflit, je ne dirais pas que ce n’est pas complétement inutile, mais presque. On laisse passer une belle occasion de sortir par le haut. Il risque de n’y avoir que des perdants dans cette histoire.
Une solution possible (et relativement simple). Lorsqu’une demande de restriction arrive, on crée une ébauche avec le nom de la voie/du secteur en question, un géoréférencement grossier (pour qu’elle apparaisse sur la carte) et en description les raisons invoquées pour la restriction et sa date de péremption.