Posté en tant qu’invité par oliv:
Chamonix à cette époque est comme toutes les stations, peuplée de gens en vacances qui souhaitent prendre du bon temps à cette période de fêtes. Alors bien sûr certains seront incommodés par ceux qui boivent un verre de plus qu’eux-même, ou ne s’expriment pas dans un français digne de Racine, mais qu’importe.
Le lieu est là, toujours aussi attirant.
Les remontées sont chères, mais où ne le sont-elles pas, en fin de compte ? La neige manquerait-elle , il ne reste plus qu’à s’adapter. Il y en aurait de trop qu’on serait tout autant perturbé, l’abondance empêchant l’accès au sacro-saint domaine skiable (mais que font les pisteurs ? c’est toujours pas ouvert ? au prix qu’on paye ! et en plus il fait pas beau ).
Qu’il est compliqué de nos jours d’accepter et les autres et le temps et tout ce qu’on ne maîtrise pas alors qu’on est là, une semaine et qu’il faut coûte que coûte réussir le séjour.
Alors une suggestion, charger dans la voiture les skis, les peaux, les piolets, sans oublier les chaussons parce-que même en plein hiver on peut grimper dans les environs. Et surtout ne pas oublier de ne rien faire, des fois qu’on rencontre des gens, du genre bipèdes qui se tiennent debout et qui parlent, parfois une langue mystérieuse, prétexte à la découverte.