Carto Loup (et patous !)

On peut remarquer que les attaques par chiens errants étaient courantes dans les années 70.
Elle semblent avoir disparu depuis; Y aurait il moins de chiens ? J’en doute…

Il est vrai qu’elles ne sont pas indemnisées, contrairement aux attaques de loups…

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Peu d’infos précises… donc ? Je me souviens d’une histoire de génisses amenées sur une crête escarpée, un jour d’orage, un coup de tonnerre boum tout le troupeau est tombé ça avait été un carnage. Dans un premier temps on avait accusé le loup. Donc ici c’est peut-être le loup qui a crée la panique ou peut-être pas. D’un côté comme de l’autre si on n’en sait rien c’est pas mieux de rien dire ??

Bah, d’un canidé à l’autre, c’est pareil
La nuit, tous les chiens sont gris.

les loups attirent la foudre, c’est bien connu

surtout sur les t-shirts des fan de Johnny Haliday !

Bonjour,
Je pense qu’il serait utile de préciser que cette cartographie « maploup » est issue du signalement des prédations en DDT (le service de la préfecture qui gère ça…), et non des prédations avérées dues au loup…
Bizarre que le DL ne se soit pas fait l’écho d’un tel phénomène, car il est prompt à faire ses choux gras dessus habituellement…
D’aucuns pourraient dire que s’il y a un tel carnage dû au loup sur un alpage, il faudrait mettre en cause le travail de la bergère. Au final, c’est peut-être pas plus mal pour elle de ne pas en faire trop de pub.
Sur les alpages de Haute-Maurienne, gardés selon les nouvelles normes (parc de nuit + berger + chien de protection), le surkilling est moindre (mais néanmoins encore présent). La prédation a nettement diminué depuis l’année dernière mais ne pas s’emballer, on est pile poil dans la mauvaise période : les louveteaux de l’année passent à l’alimentation carnée, et la prédation connaît toujours un regain à l’automne.

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Cet outil existe déjà depuis plusieurs années, et il est très utile et bienvenue. Merci donc à l’INRAe et aux services pastoraux! L’outil permet d’avoir une meilleure compréhension du phénomène, complexe car à l’intersection entre les comportements (variables) des troupeaux, des bergers, des chiens et des loups… On voit déjà qu’il y a certains secteurs (alpages) qui souffrent de bien plus d’attaques que d’autres et ça permet de cibler les efforts.

C’est vrai, mais la diffusion « en temps réel » (ou en tout cas rapide) de l’information, qui fait l’intérêt de l’outil, serait incompatible avec le temps nécessaire à la validation DDT, qui est de toute façons assez systématique dans les départements concernés.

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Ce serait quand même intéressant d’avoir également une carte des prédations validées pour voir justement s’il y a une différence ou pas.