Si encore il y avait dans le code de l’environnement ou le code de l’urbanisme (qui sont les 2 codes qui parlent de camping) une définition claire de ce qu’est le bivouac et de ce qu’est le camping et qui dit que bivouac n’est pas camping … obligé d’en passer par un juge pour espérant un jour une jurisprudence sur la question. Peut être que Peillex pourrait nous aider à y voir plus clair.
Certains sont mêmes gardés en dehors de ces périodes. Et souvent quand ils sont gardés il y a plus de place que quand ils ne sont pas gardés et donc le risque de se retrouver dans le besoin de bivouaquer en hiver que le refuge n’est pas gardé peut ne pas être si négligeable.
Ce n’est pas que ce soit payant qui limite l’affluence mais le nombre de places limitées. Ou alors ça limite aux abords directs mais pas dans un site.
Encore une fois que ce soit payant n’est pas dérangeant, car oui il y a un service en contrepartie … enfin service qui est néanmoins gratuit si tu passes à la journée sans bivouaquer. Donc tu payes pour un emplacement de tente (donc tu fais du camping ) et pas pour utiliser des services complémentaires. Les toilettes devraient être payantes toute la journée par exemple.
C’est marrant parce qu’il y avait un arrêté municipal dans un massif qui interdisait le bivouac 300 m autour d’un refuge. Le gardien avait décidé de contourner l’arrête en faisant payer les gens qui voulaient planter une tente à côté parce qu’ils utilisaient les installations du refuge. Refuge qui ne lui appartenait pas et pour lequel il ne payait pas l’entretien. Et surtout, sans discussion avec le maire qui avait pris l’arrêté.