Bientôt en exclusivité le topo de chez moi à la boulangerie

Posté en tant qu’invité par Geneviève:

C’est qui Terray ?

Posté en tant qu’invité par Charles:

c’est le copain de Lachenal

Posté en tant qu’invité par le-sherpa:

Et… c’est qui Lachenal ?

;-)) Humour

Posté en tant qu’invité par Guidepro:

Essai

En présupposant les conditions les plus favorables

L’alpinisme pourrait être :
le sport des ascensions en montagne sur des terrains (rochers, glaciers) nécessitant pour l’avance l’utilisation de matériel (crampons, piolets, cordes, pitons, etc.) et de techniques spécifiques (de progression, de sécurité, de sauvetage, de survie, assurage, pitonnage, rappels, etc.), va de facile (cotation minimum pour glaciers) à exceptionnellement difficile.

La randonnée pourrait être :
(le sport consistant à)
– parcourir un terrain avec sentier, bonnes chaussures utiles (piéton)
– parcourir un terrain sans sentier, bonnes chaussures nécessaires (piéton expérimenté)
– parcourir un terrain dont les marches sont constituées par des mottes de gazon et du rocher friable avec ou sans passages exposés, ne nécessite pas l’utilisation des mains sauf comme appui pour conserver l’équilibre, un faux-pas peut conduire à une chute mortelle, une corde est utile, éventuellement un piolet, le sens de l’orientation et de l’appréciation du terrain est nécessaire, le passage de couloirs de neige doit être maîtrisé, bonnes chaussures indispensables (randonneur expérimenté) ; serait à la frontière mouvante entre randonnée et alpinisme.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par oli974:

Globalement d’accord avec cette analyse.

Pour l’alpinisme, il faut y mettre les mains, et pas seulement pour s’équilibrer.

La Font Sancte, la VN du Brec de Chambeyron, la VN du Viso , c’est déjà de l’alpinisme.

ensuite, il y a encore le problème de l’altitude.

Au fait, tu peux me donner ta définition de l’alpinisme par rapport à l’escalade.

Merci.