Posté en tant qu’invité par brieuc:
que faire si quelqun est pris dans une avalanche jusqu’a la taillle et qu on est au dessus de l’avalanche:
[%sig%]
Posté en tant qu’invité par armand:
Ce sont les bords de l’avalanche qui sont les plus exposés à une avalanche secondaire. Mais ce n’est pas absolu.
Tu fonces le plus rapidement possible, tu dégages ton compain et tu quittes le coin .
Sur une avalanche de neige meuble, tu arrives encore à skier, sur une avalanche de neige mouillée il est impossible de skier.
Posté en tant qu’invité par Oncle Bill:
Après une avalanche, la trajectoire de l’avalanche est souvent un endroit sûr, c’est là qu’il faut descendre pour rechercher des victimes ou tout simplement pour descendre avec un minimum de risque si l’avalanche n’a emporté personne.
Posté en tant qu’invité par Jean-Luc L’Hôtellier:
Oncle Bill a écrit:
Après une avalanche, la trajectoire de l’avalanche est souvent
un endroit sûr
Si c’est une avalanche de plaque ce qui reste de la plaque au dessus n’est plus retenu par ce qui est parti et peut attendre plusieurs minutes avant de partir également en suivant bien sûr la même trajectoire.
Posté en tant qu’invité par Jean-Luc L’Hôtellier:
!brieuc a écrit:
que faire si quelqun est pris dans une avalanche jusqu’a la
taillle et qu on est au dessus de l’avalanche:
Les pieds dedans ou les pieds dehors 
?
- descendre dans la trace de l avalanche jusqu’au gars
- descendre a coté de la trace jusqu’a hauteur du gars et a sa
hauteur rentrer dans la trace de l’avalanche ?
Tu estimes les risques de sur-avalanche, ça peut repartir d’un peu plus haut ou sur les côtés, tu choisis le terrain le plus facile (skier dans une coulée c’est pas ce qu’il y a de plus facile) pour atteindre la victime et tu fais au mieux, ça dépend beaucoup de la configuration du terrain, de la neige, de ce qu’il reste après la coulée.
Merci de me repondre le plus rapidement possible
Pourquoi rapidement ? Tu te balades actuellement avec un portable et ça vient de se produire sous tes yeux ?
Posté en tant qu’invité par Oncle Bill:
Je n’ai jamais entendu parlé de ce dont tu parles. Si ça n’est pas parti plus haut tout seul, il est extrêmement peu probable que ça reparte tout seul sans le passage d’un autre skieur (dans ce cas oui, c’est arrivé à un de mes collègues).
Posté en tant qu’invité par armand:
Pour Oncle Bill a écrit:
Je n’ai jamais entendu parlé de ce dont tu parles. Si ça n’est
pas parti plus haut tout seul, il est extrêmement peu probable
que ça reparte tout seul sans le passage d’un autre skieur
(dans ce cas oui, c’est arrivé à un de mes collègues).
Confirmation.
Pour avoir déclenché artificiellement et vu plusieurs milliers d’avalanches, je ne me souviens pas d’avoir vu partir spontanément la partie restante au-dessus de la cassure. Même avec de l’explosif, il est généralement difficile de décrocher ce qui semble être de menace effrayante : grandes épaisseur, avec des fissures apparentes.
Posté en tant qu’invité par Jean-Luc L’Hôtellier:
Bon, ben je me plante peut-être pourtant je pensais que si il restait un morceau de plaque il pouvait partir assez facilement. Je me méfierais quand même.
Posté en tant qu’invité par catherine:
!Jean-Luc L’Hôtellier a écrit:
Bon, ben je me plante peut-être pourtant je pensais que si il
restait un morceau de plaque il pouvait partir assez
facilement. Je me méfierais quand même.
C’est vrai qu’il y a des plaques à « étages », c’est à dire avec plusieurs couches pouvant partir à la suite si tout ne part pas du 1er coup.
Mais si une grosse plaque a cassé à un endroit, c’est parceque cet endroit était fragile ou bien soumis à une très forte contrainte (rupture de pente). Le morceau qui est parti exerçait plutôt une contrainte qu’un appui il me semble à ce qui était au-dessus dans la pente, ce qui explique le peu de risque que ce qui reste se décroche (sans intervention extérieure).
Il y a quelques semaines, on s’est amusés à découper un morceau justement au-dessus d’une cassure d’une plaque dure. Les strates correspondaient à un cas d’école : poudreuse sur le dessus cachant une bonne épaisseur de plaque dure, laquelle reposait sur gobelets, et eux-mêmes sur une croute de regel.
On a eu un mal fou à faire partir le morceau parcequ’en fait là où il reposait ce n’était plus assez pentu : ça avait cassé au niveau de la rupture de pente.
Posté en tant qu’invité par arnaud:
ça dépend , c’est un pote ? tu veux vraiment l’aider ? y a quoi dans son sac ? c’est lui qui a les clés de la voiture ?