Posté en tant qu’invité par marie:
Est ce vrai que l’altitude est déconseillée pour un asthmatique ? En particulier la prise d’altitude rapide (l’aiguille du midi). La personne à laquelle je pense est sportive.
Asthme
Posté en tant qu’invité par Alex G.:
Salut
Tout dépend du degré de sévérité de l’asthme. Un asthme bien controlé, c’est-à-dire qui réagit bien aux médicaments, n’entraîne pas forcément d’incapacité à l’effort. Il faut néanmoins faire attention au froid, car certains asthme sont très sensibles au froid.
Le problème réside avec les personnes qui ont en permanence une constriction des bronches, alors là l’altitude est fortement décommandée, indépendamment de la rapidité de la montée, car la pression en oxygène diminue fortement, en particulier à 3800m.
Alex
Posté en tant qu’invité par dam’s:
Salut!
Je suis asthmatique, et je fais beaucoup de montagne, y compris en altitude (mont blanc par les trois monts par ex).
Comme l’a dit Alex, tout dépend de la severité de l’asthme, et de la façon dont l’effort est géré. Il faut bien connaitre ses limites!
Au contraire même, la randonnée (en moyenne montagne) me permet de reduire les crises.
J’ai également remarqué que je suportais bien le manque d’altiude grace à mon asthme!
Attention, il ne faut pas généraliser, mais asthme ne veut pas toujours dire impossibilité de faire de l’alpinisme!
Bon courage!
Dam’s
Posté en tant qu’invité par tiptop:
Je ne peux répondre directement à ta question mais mon expérience peut compléter :
J’ai fais de l’asthme à 11 ans. Cet asthme s’est converti rapidement en allergie respiratoire aux acariens, poussières de maison, pollens tardif, chat. Je ne me sens vraiment bien qu’en montagne ou ces élements sont peu présents.
Durant mon asthme, je compensé les périodes de faiblesses par de l’entrainement (course à pieds) pendant les périodes de répis, de façons à augmenter mes capacités respiratoires. Je pense que cela m’a aidé.
Les traitements n’ont rien donnés à part des effets secondaires non négliageables même s’ils sont négligés par les médecins. Le seul gain est sur l’« hygiène de vie » : se faire à l’idée qu’on est malade et vivre dans une chambre telle une chambre d’hopital, sans bibelots, sans rideau, carrelage ou paquets au sol, enfin rien qui retienne la poussière, faible température (16 °C), faible humidité (j’habitais à coté d’une rivière, j’ai déménagé, et le changement est impressionnant. Il faut commencer par accepter son handicap pour pouvoir le gérer.
Posté en tant qu’invité par derek:
mon frangin avait un asthme tres serieux , il a soigne ca avec des inhalations de scolopendre. resultat super aujourd’hui
Posté en tant qu’invité par Jérôme:
Pareil, ça doit dépendre des cas. J’ai eu de l’asthme tout petit, puis j’ai été mis en cure climatique dans les pyrénées de 8ans à 15ans, je ne faisais jamais de sport même à l’école, et je n’avais donc évidemment aucun fond! , puis j’ai commencé à faire du skate et je me suis mis à la montagne, maintenant je ne suis quasiment jamais géné, sauf dans de rares cas si je pars à froid de chez moi direct à fond dans une cote en vélo par exemple… la preuve http://nimp.crew.free.fr/NimpCrew.php !
Posté en tant qu’invité par txom:
A derek : peux tu me donner des precisions sur le scolopendre et où en trouver. Merci
Posté en tant qu’invité par txom:
re, re: à Derek et aux autres. Q.q a t’il des précisions sur le scolopendre en inhalation??
Posté en tant qu’invité par txom:
sclopendre en inhalation pour combattre l’asthme. Vous connaissez ?