Après le dry-tooling, les dry-raquettes

#1

Posté en tant qu’invité par crêt de la neige:

Bonjour,

Avec deux copains, nous avons décidé de lancer les dry-raquettes, dans la lignée du dry-tooling.
Effectivement, dans les ascensions où la prairie déneigée mène aux pentes enneigées, il est déjà facile de mettre les raquettes dès la voiture, l’utilisation des raquettes étant confortable sur de l’herbe. A la descente, on ne retire les raquettes qu’au parking.
Demain, nous comptons motiver les fabricants pour qu’ils soient capables de concevoir des raquettes utilisables sur sentier caillouteux, terreux et éboulis. Ainsi naîtrait les « dry-raquettes ». Une version X-trem serait celle que l’on enlèverait quasiment jamais, même dans le 2.
Il est temps que les fabricants évoluent, pour qu’après le dry-tooling, apparaissent les dry-raquettes.

Vous connaissiez les crampons-piolets sur le rocher, vous allez connaître les raquettes sur la caillasse.

#2

Salut ,

pourquoi en raquettes ? En crampons sur l’herbe, ça n’est pas mieux ?


(à la reflexion ,c’que j’peux être bête, c’est un Troll , et moi qui plonge dedans bien comme il faut .)

#3

Posté en tant qu’invité par Re-Aaaaa…tchoum:

[quote=Aaaaaaaaa…tchoum|1050488][quote=« crêt de la neige, id: 834869, post:1, topic:83385 »]Bonjour,

Avec deux copains, nous avons décidé de lancer les dry-raquettes, dans la lignée du dry-tooling.
Effectivement, dans les ascensions où la prairie déneigée mène aux pentes enneigées, il est déjà facile de mettre les raquettes dès la voiture, l’utilisation des raquettes étant confortable sur de l’herbe. A la descente, on ne retire les raquettes qu’au parking.

Pourquoi les retirer, on ne peut pas conduire sa bagnole avec? Faire du ‹ dry-raquettes-bagnoling ›?

Demain, nous comptons motiver les fabricants pour qu’ils soient capables de concevoir des raquettes utilisables sur sentier caillouteux, terreux et éboulis. Ainsi naîtrait les « dry-raquettes ». Une version X-trem serait celle que l’on enlèverait quasiment jamais, même dans le 2.
Il est temps que les fabricants évoluent, pour qu’après le dry-tooling, apparaissent les dry-raquettes.

Vous connaissiez les crampons-piolets sur le rocher, vous allez connaître les raquettes sur la caillasse.[/quote]
[/quote]
Pourquoi les retirer, on ne peut pas conduire sa bagnole avec? Faire du ‹ dry-raquettes-bagnoling ›? :lol: :lol: :lol:

#4

[quote=« crêt de la neige, id: 834869, post:1, topic:83385 »]Bonjour,

Avec deux copains, nous avons décidé de lancer les dry-raquettes, dans la lignée du dry-tooling.
Effectivement, dans les ascensions où la prairie déneigée mène aux pentes enneigées, il est déjà facile de mettre les raquettes dès la voiture, l’utilisation des raquettes étant confortable sur de l’herbe. A la descente, on ne retire les raquettes qu’au parking.
Demain, nous comptons motiver les fabricants pour qu’ils soient capables de concevoir des raquettes utilisables sur sentier caillouteux, terreux et éboulis. Ainsi naîtrait les « dry-raquettes ». Une version X-trem serait celle que l’on enlèverait quasiment jamais, même dans le 2.
Il est temps que les fabricants évoluent, pour qu’après le dry-tooling, apparaissent les dry-raquettes.

Vous connaissiez les crampons-piolets sur le rocher, vous allez connaître les raquettes sur la caillasse.[/quote]

pas mal, ca me rappelle mes débuts surf-raquette y a 10ans lorsque je descendais des petites barres rocheuses raides voir quasi verticales en glissant/rippant sur mes raquettes; et je les ai toujours (bon les pointes sont ravagées, j avoue…)

#5

Posté en tant qu’invité par jdeuze fan club:

ça existe déjà: ça s’appelle le dry j2lh: c’est encore plus technique que ça puisque tu les mets chez toi ,tu prends le p’tit dej’ avec ,tu descend les escalier avec, tu conduits avec, tu tchate sur c2c avec …

#6

Posté en tant qu’invité par eroruA:

bof, ça n’a rien de nouveau, les gros modos de c2c s’y sont déja mis depuis longtemps…

#7

Mouais … y en a qui font déjà ca avec les chaines de leur bagnoles … descente d’un col complètement déneigé et traversé d’au moins trois villages en vallée (bien au sec) avec les chaines aux pneus.

Du Dry Chaining ? m’enfin …

En même temps on ne sait jamais, un accident est si vite arrivé :wink:

#8

Je ne suis pas gros, ce sont les vêtements d’hiver qui me boudinent :stuck_out_tongue:

#9

Et on ne dit pas « dry raquette » mais « dry racketting ».

Causez français, merde!

#10

Au fait, il y a aussi le dry skiing. Ca se pratique sur les dunes du Sahara ou sur les pierriers de l’Oisans. Bien que je ne soie pas sûr qu’il y ait des pierriers en Oisans; je me renseignerai, promis.

#11

Posté en tant qu’invité par Aaaaa…tchoum!:

Et le Martini dry, hein? Hein?

#12

Posté en tant qu’invité par M le Jardinier:

Beh cré de Diou, avé des crampons aux pieds, on pieut-y donc pas sarcler l’jardin aussi ?

#13

Posté en tant qu’invité par match point:

et si je mets les vieilles raquettes de tennis du fiston, ça fera aussi ? :rolleyes:

#14

Posté en tant qu’invité par C’est toi Walter ?:

Le Dry-raquette enfin !
La raquette est bien l’activité la plus dynamique du moment, la preuve on invente en quelques années :

alors la raquette a bien le droit au dry raquette !

Tout le monde semble l’avoir inventé. Bien sur maintenant tout le monde revendique la paternité.
Je crois que Vertical prévoit un sujet explosif avec François Marsigny « Ma vérité sur le dry-raquette-approaching-en-cascade-de-glace »
Aux édition Guérin, la rumeur dit que Bonatti prévoit un 16è livre sur le K2, où il explique que Lacedelli l’accuse de racket d’oxygène alors que lui il voulait juste faire de la raquette à 8000m.

Mais je vais vous dire le dry-raquette il n’y en a qu’un qui l’ai inventé et personne d’autre, il me l’a révélé au court d’un conversation :
C’était avec mon pote, Reinhold M., qui me disait :

« Plus que toute autre expérience, cette plongée dans le néant des grandes montagnes m’a toujours posé le problème de l’existence humaine. Pourquoi sommes-nous là ? D’où venons-nous, où allons-nous ? »

Ce à quoi je lui ai répondu « Resserre ton masque à oxygène je crois qu’il est mal branché »

Alors là il me dit suyr le ton de la confidence,
« Tu sais avec Günther on n’osait pas trop le dire, mais notre vrai passion c’était la raquette, et si on est parti devant au Nanga Parbat, c’était pour pas que les autres nous voient et se moquent de nous, tu comprends.
C’est aussi pour ça que j’étais content de retrouver sa chaussure plus tard, j’ai pu cacher les raquettes qu’il avait aux pieds avant que personne ne voit. En fait, on a fait la première dry-raquette d’un 8000. »
Sacré Reinhold !

A ce sujet il faut lire « The Unauthorized Biography of Reinhold Messner »
http://www.popnews.com/popnews/bf5/

#15

Je ne suis pas tout-à-fait d’accord avec toi, Walter.
Tu sembles oublier la place que la raquette freeride s’est creusée au sein de la raquette extrême… il n’y a pas que le dry-raquette qui ait obtenu ses lettres de noblesses !

#16

Posté en tant qu’invité par je te croyais au Pérou:

Il est temps effectivement, de dénoncer ce complot qui a trop longtemps fait passer la raquette pour un truc de 2. Mike H. m’a encore dit la semaine dernière : « je n’ai pas pu opter pour la raquette pour une partie d’Arktos, mes sponsors m’ont dit que ce n’était pas digne d’un mec comme moi pour qui l’Impossible est possible car la Volonté du possible n’est pas Impossible. Pourtant, les dernières raquettes TSL (« avec les raquettes TSL, halte au racket de la raquette, restons Très Sûrs de nos Libertés. … Par contre, au refuge, entouré de bonnasses, pas de la racket de la raclette. Warf warf warf " (rires gras)) sont certifiées SSR : Simples à utiliser, Solides en tout circonstance, Réparable facilement. Comme ma femme d’ailleurs, qui est restée toute seule pendant 2 ans ½ à élever les mioches et tenir la baraque en Suisse.
En tout cas, moi je m’en tape. La raquette, je kiffe. Ca m’occupe en dehors de la grimpe où j’excelle. Et puis de la goulotte où je suis bon. Et puis du free-riding où je débute. Et puis du base jumb où je nul. Et puis de l’artif où je suis médiocre. Et puis de la photo où je suis un naze. Et puis des 8000 où je reste au base camp. Et puis de l’écriture d’articles dans Vertical d’où jean mi veut me virer.
L’ultime frontière : la Yanira-quette, qui permet de passer des passages en M8 de la directissime des potes du Dod. Respect.

#17

C’est possible de dire qu’on est nul en base jump ?

#18

Posté en tant qu’invité par jean 23:

[quote=« crêt de la neige, id: 834869, post:1, topic:83385 »]Bonjour,

Avec deux copains, nous avons décidé de lancer les dry-raquettes, dans la lignée du dry-tooling.
Effectivement, dans les ascensions où la prairie déneigée mène aux pentes enneigées, il est déjà facile de mettre les raquettes dès la voiture, l’utilisation des raquettes étant confortable sur de l’herbe. A la descente, on ne retire les raquettes qu’au parking.
Demain, nous comptons motiver les fabricants pour qu’ils soient capables de concevoir des raquettes utilisables sur sentier caillouteux, terreux et éboulis. Ainsi naîtrait les « dry-raquettes ». Une version X-trem serait celle que l’on enlèverait quasiment jamais, même dans le 2.
Il est temps que les fabricants évoluent, pour qu’après le dry-tooling, apparaissent les dry-raquettes.

Vous connaissiez les crampons-piolets sur le rocher, vous allez connaître les raquettes sur la caillasse.[/quote]
Et le dry saoulerie ou comment dire des conneries sans être alcoolisé?

#19

Y a aussi la dune du Pilat …

#20

Posté en tant qu’invité par l’AlBum de la Comptesse:

C’est qui Dulat ?