Posté en tant qu’invité par jc:
ça, c’est le mot le plus long de la langue française (quoique… « élastique » peut rivaliser!)
Et vous, quel a été votre « jour le plus long en montagne » ?
Posté en tant qu’invité par jc:
ça, c’est le mot le plus long de la langue française (quoique… « élastique » peut rivaliser!)
Et vous, quel a été votre « jour le plus long en montagne » ?
Posté en tant qu’invité par gnueek:
Salut,
Moi c’est quand j’étais parti avec mon frère faire la calotte des Agneaux.
La veille, il y eut un orage, donc un peu de neige.
Quand nous sommes arrivés sur le glacier supérieur d’Arsine (je ne crois pas me tromper), nous avons assisté à un festival de coulée, ce qui a eu pour effet de nous calmer et de nous donner la soudaine envie d’attendre le regel du soir.
Ce fut une bonne solution, car nous sommes encore la
Bye
Posté en tant qu’invité par Erick:
Samedi 14 h : départ de Dijon
17 h 30 : parking de Bionnassay
21 h : Tête Rousse sans TMB
22 h 30 : traversée du grand couloir
minuit : Goûter
vers 5-6heures : sommet du Mont Blanc
vers 15 h : parking de Bionnassay avec ou sans TMB
vers 20 h : Dijon …
C’était tous les ans il y a 10-15 ans quand je l’avais encore dans les jambes…
Posté en tant qu’invité par Guillaume:
Pas mal Eric
Dans le même style
Réveil 5 h
Téléphérique de l’aiguille du Midi 6 heures
Sommet de l’aiguille 6 h 30 … Là, il faut attendre l’ouverture de l’Helbronner (on avait pas les horaires … 8 h 30
Sur le glacier sous l’Helbronner 9 h
Salle à Manger 15 h 30 (Je ne sais pas ce qu’on a fait …)
Dent du Géant (même pas le bon sommet , le mauvais ) 18 h 30 on a du croiser toute les cordées qui redescendaient à la montée
21 h Salle à manger
Bivouac improvisé sans duvet, sans bouffe, sans rien. J’étais parti léger , pour une course à la journée. Sans dormir 11 h
Nouveau départ 2 h 20
Téléphérique de l’Hellbronner 5 h 30
Attente dans une remise jusqu’à 7 h 30 Café
Retour à Chamonix
Maison bien fatigué 16 h …
Posté en tant qu’invité par L’Urbain:
Samedi 9h : départ de grenoble
12h : aiguille du midi par le téléphérique
19h : Refuge Ghiglione (c’était en Janvier, sans raquette, on a bien barboté, vive la neige croutée)
Entre 19h et 1h : repas, essais infructueux pour dormir, il fait vraiment trop froid. Le refuge bouge à chaque rafale.
1h : réveil, on a plus d’eau, tout a gelé
2h : départ pour le Mont Blanc, le moral dans les chaussettes.
5h : on a toujours pas trouvé la sentinelle rouge, on est sous de gros séracs : retraite
7h : sous le refuge Ghiglione, on décide de descendre directement à Courmayeur, le téléphérique, c’est trop cher. Il fait très soif.
13h : pause pour faire fondre de la neige. Une bonne demi heure à laisser les gourdes au soleil pour boire deux gouttes…
15h : arrivée au tunnel, auto-stop pour retrouver la voiture.
20h : arrivée à Grenoble.
Epilogue : le lendemain, des baquets d’eau toute les 15mn n’arriveront pas à étancher notre soif. Toute la peau de mon menton, cramoisie (voire moisie), tombera en un seul morceau. Avec des petits trous pour les poils de barbe.