Aneto, question d'histoire

#21

Alors il avait de sacré mollets, ou un vélomoteur débridé. 2h20 pour 160km et >1300m de déniv…
Ou plus vraisemblablement, il était un peu fatigué au retour quand il a consigné ses horaires.

#22

je pense plutôt train ou voiture… Ils faisaient souvent des sorties groupés

#23

Ha OK. comme Kevek parlait d’un potentiel chrono avec approche à vélo juste au dessus, je pensais que cela y faisait référence

#24

Le carnet ne précise pas le moyen de transport utilisé mais vu les horaires c’était motorisé… les horaires sont déjà surprenants : 4h30 de l’Hospice de France - 10h30 au sommet de l’Aneto ! pas nécessaire de rajouter en plus une performance depuis Toulouse :smile:

#25

Merci pour l’info, on m’avait parlé d’un a/r depuis Toulouse non motorisé mais la personne qui m’en a parlé a dû être induite en erreur par les horaires données sans autres informations.

C’est assez marrant parce qu’apparemment, si je comprends bien les indications données par les horaires, le monsieur s’est pris de sacré pauses, 1h au sommet, presque 2h à la Rencluse et enfin 1h à Luchon où il a dû s’arrêter prendre une bière pour débriefer sa journée :joy:

Il marchait très vite mais prenait aussi le temps de se détendre au sommet et aux bonnes adresses apparemment ^^

#26

Mais quand même 2h20 pour faire Toulouse-hospice de France avec les routes et voitures de l’époque, ça me surprend un peu cette histoire.

#27

C’est les horaires indiqués dans ses carnets. Quand tu vois la vitesse à laquelle il fait l’ascension il a droit à souffler un peu au sommet. Quant à la Rencluse c’était un peu son camp de base. On peut supposer qu’il a rencontré du monde et il s’est aussi restauré vu l’heure !
Quelle performance, chapeau bas…

#28

Il est bien parti de Toulouse en voiture à 2h10 : Bulletin pyrénéen : publié avec le concours de la Section de Pau du Club alpin français (CAF) et de la Société des excursionnistes du Béarn (SEB) | 1935-04 | Gallica

Au sujet de Jean Arlaud :