Posté en tant qu’invité par tetras:
Bien sur, c’est imbuvable! Il n’est pas question de s’avaler le bouquin du début à la fin et d’espérer tout savoir arriver à la dernière page. C’est un bouquin qui se glane. Une info par-ci , une info par là. Il faut lire ce livre par morceaux, en fonction de que l’on recherche momentanément.
La forme lyrique me plaie beaucoup. Il y a peu d’auteur aussi compétant que Fischesser qui soit encore capable de voir la beauté de la nature. etre à la fois écologue, pédagogue et poète, ce n’est pas donner à tout le monde. En fait, ce genre de livre n’est peu être pas fait pour des lecteur trop terre à terre, qui préfèreront s’ingurgiter des tonnes de nom latin avec un bon gros guide Delacheaux & Nieslé.
La vie de la montagne, c’est un beau livre, un livre de collection, de vitrine. Quand des gens viennent chez moi, qu’il fouille dans ma bibliothèque, c’est le premier bouquin qu’il sortent alors que j’en ai des dizaine d’autre.
Par contre, il ne suffit pas à l’accompagnateur, qui je pense doit avoir une bibliothèque très variés.