[quote=catherine]Bonsoir Jean-Claude !
le lien sur mon ordi, il marche !
il pointe sur une page « récits » de la V4 (« Alors » écrit par Francois)
Tu dois avoir du monde au gîte, mais on viendra peut-être quand même te faire un petit coucou. :)[/quote]
Idem, page blanche… vite appelle la hotline des fois que certains s’inquietent 
pas dans le sac, mais sur soi. Si tu perds le sac, tu perds le portable aussi.
Posté en tant qu’invité par tof666:
pas dans le sac, mais sur soi. Si tu perds le sac, tu perds le portable aussi.[/quote]
Le plus simple est de le laisser dans la voiture. Ok, ce n’est pas politiquement correct mais ca permet de gagner 100g.
dead line ???
je ne sais pas si c’est une expression à employer avec des proches plutot inquiets mais néanmoins anglophiles ;-))
dead line ???
je ne sais pas si c’est une expression à employer avec des proches plutot inquiets mais néanmoins anglophiles ;-))[/quote]
C’est vrai que c’est des coups à se faire dégonfler préventivement les pneus de la voiture… Comme ça pas de danger
A cette menace, je répondrais : je m’en moque, je prends les transports en commun (DD) …
[quote=catherine]oui, mais Paul, à QUI envoie-tu ces messages ?
…[/quote]
A mon avis, ca n’a pas d’importance. La seule chose qui compte, c’est d’être sûr que la personne préviendra les secours à l’heure dite sans se poser de questions.
Ca me parait bcp mieux que les choses soient par écrit.
Je prends une marge très large, calculée avec appel final de chez moi ou du bar après la course. En cas de retard, je peux appeler au cours de la descente, ou du refuge, donc je gagne aussi de ce côté.
Pour toute course normale, j’appelle plusieurs heures avant l’echéance…
Il y a bien longtemps, j’ai eu un problème au cours d’un raid à ski dans le sud de l’Oisans. Suite à une grosse chute de neige imprévue, on s’est mis dans un refuge et on a attendu.
Un proche avait l’itinéraire par écrit, avec jour / heure de déclenchement des secours.
Le PGHM a croisé les infos avec la météo, et au premier créneau de beau temps l’hélico est venu direct où il fallait.
Ca m’aurait embêté qu’ils aient du ratisser tout le massif, ca m’aurait embêté aussi qu’on essaye de descendre des pentes incertaines…
Posté en tant qu’invité par tof666:
[quote=Paul G]Je prends une marge très large, calculée avec appel final de chez moi ou du bar après la course. En cas de retard, je peux appeler au cours de la descente, ou du refuge, donc je gagne aussi de ce côté.
Pour toute course normale, j’appelle plusieurs heures avant l’echéance…
…[/quote]
Comme bien souvent, tout est relatif. :D:D
Une marge calculée avec un appel final de chez moi ne me semble pas très large. C’est même très juste et ne prends certainement pas en compte les bivouacs non prévus.
Une marge très large, c’est une dead line lundi soir pour une course dimanche.
Bien évidement, tout dépend des courses. Pour le ski, activité où le risque majeur est l’avalanche, je considére que ca ne fait guère de différence entre un appel le dimanche soir ou le lundi soir. De toute façons, tu es mort arès 20-30min. Ne jamais compter sur les autres est la meilleure solution. En cas d’accidents autre que l’avalanche, si tu parts à plusieurs, il y aura toujours une personne qui arrivera à prevenir les secours. On est en France et les coins à plus de quelques heures d’un téléphone n’existe pas vraiment. De toute façon, savoir se débrouiller en cas de pépins fait partie de la pratique de la montagne.
Un bivouac non prévu n’est pas une raison suffisante pour déclencher les secours.
Euh…Tu présentes les choses comme ça à tes amis/proches?Si c’est le cas, ils ont répondu quoi la première fois? J’ai comme dans l’idée que je me ferais envoyer sur les roses moi…
Pour l’avalanche, la plupart de ceux à qui je parle montagne sont suffisemmment skieurs pour être au courant du coup des 20 mn, mais la réponse logique, c’est que si tu es seulement blessé, mais en surface, eh bien ton délai il peut faire la différence. (C’est d’ailleurs si je me souviens bien une des réponses que j’ai eues dimanche soir quand j’ai poussé un peu la discussion avec un de nos inquiets).