Alpiniste experimenté?

Posté en tant qu’invité par charlo:

Est ce quelqu’un sait comment ont évolué les cotations d’escalade, je m’explique est ce que le 6 d’il y a 30 ans équivaut au meme niveau que le 6 de maintenant sachant que c’était considéré comme la limite des possibilitées humaines.
Merci @+

Posté en tant qu’invité par bouba:

pour moi oui, ils ont juste allonger la collone non?! mais je n’en suis pas sur!!!

Posté en tant qu’invité par seb77:

Perso je dirais que le 6 d’il y a 30 ans = 7 actuel…il était fort papi!!!
La difference est faite par le matos, il y a 30 ans ça se faisait en grosses.

Posté en tant qu’invité par fabrice:

Salut,

dès que les cotations sont en chiffre romain, méfiance!
par exemple, la mummery au grépon, côté IV dans le rébuffat, et pas de 5b dans le glénat récent du mont blanc!
Après ça dépend du style de grimpe, pour la dalle avec les chaussons, on est vraiment gagant par rapport au grosse!

Posté en tant qu’invité par x.:

Eh oui, les diedres en 6 à la Rebuffat ou Livanos, ça se passe de commentaires parfois (souvent)…

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par alain:

Quand l’échelle s’arrétait à VI, le VI contenait toutes sortes de difficultés qui pourraient être du 6 ou du 7 aujourd’hui. Si cela passait en libre c’était VI quelle que soit la difficulté, sinon c’était coté en artif. Je pense aussi que les différents niveaux recouvraient une plage plus large que maintenant d’où parfois des surprises dans des passages de IV à l’ancienne.
Je pense aussi qu’il faut prendre les cotations comme des indications et pas plus. Un grimpeur habitué au 6 en falaise calcaire peut rencontrer des problèmes dans un 4 montagnard ( fissure, renfougnes) .