Alpinisme sans entrainement ?

Personne, personne…
J’en connais quelques-uns, quand ils disent « s’il continue à me saoûler celui-là j’vais lui défoncer la tête », nous pourrions croire que c’est « façon de parler ».
Sauf que non, ils le font vraiment.
Alors j’me méfie des façons de parler, désormais !

Il me semblait que @hpierre avait conclu : « la préparation permet d’être plus à l’aise et de mieux profiter », alors c’est la porte ouverte à digresser ailleurs, nan ? (histoire d’ouvrir de nouvelles portes. Ou pas).

Et tu as raison.
« Méfiance, prudence et patience sont les mamelles de l’aventure »

Des mamelles en nombre impair ? un animal bien curieux hehe !

Sinon, pour apporter la petite pierre à l’édifice, j’ai aussi la trentaine, et je dois dire qu’il y a 4/5 ans je suis allé au mt blanc par les trois monts, avec une préparation qu’on qualifierait d’un peu juste, et une acclimatation, idem (un tour à la cabane d’orny, un saut aux grands montets, et voilà).
Ben, c’est franchement pas plaisant, et je referai jamais ça ! Autant se lever l’âme quand on est en forme mais que c’est l’exigence de la course qui le demande, ça peut être gratifiant, autant peiner quand on sent que c’est notre petite machine la coupable, ça casse un peu tout pour moi. On peut moins profiter, regarder, et suivant la technicité, on perd grandement en lucidité en plus, et ça peut être dangereux.

Bon j’espère que @hpierre se régale ou s’est régalé en tout cas !

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