Bonjour à tous,
La saison hivernale arrive avec son lot de sorties possibles et inimaginables. Je me pose quelques questions concernant l’encordement quand il y a un risque d’avalanche existant même si la sortie se déroule avec une prédiction d’avalanche très très faible.
Je n’évolue pas en ski de rando mais plutôt en raquettes ou en crampons. Par exemple pour faire une approche. Dans les passages raides ou sur glacier, naturellement je vais penser à m’encorder avec mon partenaire. Que se passera-t-il si l’un de nous deux (ou les deux) est pris dans une coulée ou une avalanche ? Est-ce que l’utilisation du DVA est toujours pertinente dans ce cas ? C’est mieux que rien probablement. Quelles sont vos habitudes (et surtout pourquoi) par rapport aux DVA et à l’encordement.
Pour illustrer mon propos j’ai quelques sorties possibles en tête :
- Couloir dans autour du Hohneck. Une fois je me suis fait insulter par un moniteur de ski de ne pas avoir de DVA vu le risque lié aux corniches. Une autre fois, on m’a rigolé au nez quand j’ai évoqué le fait qu’il en fallait objectivement un.
- Approche « par les pistes de ski » jusqu’au couloir de la cheminée, le couloir du chien ou encore la goulotte du chien à Belledonne. J’aimerais essayer.
- Approche vers un couloir ou une goulotte par la vallée blanche, en longeant des pentes de neige risquées. Prévu pour ce printemps.
J’espère que vous aurez compris mon interrogation.
Merci d’avance.