Le post, qui concerne le dopage en alpinisme et non en escalade, a été déplacé ici.
Alpinisme et Dopage
Intéressant, mais les distinctions entre ce qui est artficiel et ce qui ne l’est pas, surtout en ce qui concerne l’entrainement à haut niveau, deviennent un peu arbitraire.
Le plus cohérent, à mon sens, c’est de considérer les règles de dopage comme toutes les autres règles d’une compétition, et le dopage devrait être considérée comme toute autre triche. Hors compétition, peu de sens de parler de dopage. Même en competition amateur, nombreux sont ceux qui s’en foutent du dopage des autres. Par exemple, nombreux sont ceux qui obtiennent une ordinance pour la TRT (thérapie de remplacement de testosterone) car ils pensent que ça améliorera leur qualité de vie, et qui participent à la course de vélo du coin. C’est peut-être du dopage aussi, mais au final en s’en fout.
En ce qui concerne l’Everest en 7j avec Xenon, bon c’est intéressant comme expereince scientifique, mais j’ai du mal à voir cette pratique se généraliser. De toute façon, les alpinistes qui participent à ce genre d’expedition ne sont pas de toute façon des alpinistes d’élite.
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Le dopage hors compétition est très utilisé, afin de résister à de grosses charges d’entraînement, augmenter la masse musculaire, perdre de la graisse ect…
Dans les sports beaucoup contrôlés (genre cyclisme, athlétisme), les sportifs sont contrôlés régulièrement même hors compétition, également avec un passeport sanguin.
Dans les sports arriérés genre foot ou tennis, rien de tout ça évidemment. Surtout pas de vagues.
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La définition de dopage c’est de prendre des produits ou d’utiliser des techniques médicales qui sont définies comme illicites par les instances sportives concernées.
Comme il n’y a pas de compétition officielle en matière d’alpinisme, ou en tous cas qu’il n’y a pas de règles définies, tout est autorisée donc il n’y a pas de dopage.
Si demain une instance quelconque ou un groupe d’alpiniste définissait ce qui est autorisé ou interdit alors on pourrait parler de dopage.
Aujourd’hui on peut juste identifier ceux qui font un sommet avec ou sans oxygène, avec ou sans corde fixe.
Pour l’instant personne n’a revendiqué avoir fait de sommet sans amphét, EPO ou autre joyeuseté chimique 
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Tout à fait, en alpinisme il n’y a pas vraiment de compétitions officielles, donc pas de contrôles (à part des trucs bizarres genre ski alpi, ou escalade de glace).
Il faudrait plutôt parler d’éthique que de dopage.
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Quand je dis « hors competition » je veux dire « pour des athlètes non-compétitifs ». Je sais bien que le dopage concerne aussi les périodes d’entrainement.
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