Bonjour Choub,
Sans vouloir froiser David, je ne crois pas qu’il y est une recette « miracle » sur la manière d’effectuer l’ascension d’un haut sommet de 7000m.
Il faut admettre que nous n’avons pas tous le même moteur David. 
Par conséquent, si c’est une 1ere à haute altitude, il est préférable de soigner son aclimatation, de prendre le temps et peut-être de découvrir les réactions de son organisme au effet de l’altitude sur des sommets entre 5000m et 5500m au Cordon de Plata (Arg) ou Vallée de Maipo (Chili) par exemple et en se prenant du repos avant l’Aconcagua si tu peux te le permettre…apprécier la vie à Mendoza ou Santiago du Chili, rencontrer des gens sur place, échanger sur place…prendre du bon temps sans rester sur des camps d’altitude qui pour certains ont la facheuse tendance à saturer la motivation et le morale en cas de condition moyenne.
Cela permet parfois de revoir son alimentation que l’on emporte, si défois on prend tous sur place, car on trouve à peu prés tout sur place à Mendoza ou Santiago.
Ce faire plaisir entre 2 ascensions, c’est pas mal non plus. 
Un bon Asado, un bon Malbec (vin), une bonne glace à la terrasse d’un café…
:rolleyes:
A toi de te tester à l’altitude.
On peut se prendre des grosses baffes si on n’écoute pas assez son organisme là haut.
Et faire le dernier jour 1700m de dénivellé entre 5300 et 7000m n’est pas à la porter de tous, si tu veux pas avoir à cracher tes poumons et apprécier la montée, prendre du plaisir aussi c’est bien, regarder le paysage sereinement.
Et n’oubli pas, beaucoup, se donnent à fond à la montée, et à la descente on en retrouve pas mal à l’agonie, assis sur une pierre ne pouvant plus faire un pas.
Même si les secours sont sur place, l’hélico ne volera pas en cas de vent fort ou de brouillard et ça risque de mettre un peu de temps à pied.
C’est quand même un peu engagé malgré tout…
Suerte.