Posté en tant qu’invité par typloum:
Stylo
Les similitudes que j’y vois: en mer (je suis un ex BE voile), on doit être observateur et là la compétition apporte un plus car tu te dois d’observer le moindre clapot, la moindre risée, le moindre nuage, le relief, les effets locaux, en gros tu t’ouvres un max sur ce qui t’entoure.
En montagne, je pense que c’est pareil. Quoique quand je suis naze, j’ai tendance à ne plus regarder que mes pieds!
Sinon, la clientèle n’est plus la même. On cherche à se faire plaisir, vite, on fractionne ses vacances, on teste toutes les activités, on veut se faire plaisir, acheter des sensations.
vous le sentez pas ça aux Glénans ? il doit se faire plus rare le client qui accepte de repecher des bouées toute la journée ! surtout si en plus il n’y a pas d’objectif ludique dans le stage. Et en ça, moi je trouve normal qu’un sommet soit un aboutissement, une récompense. Remarque naviguer dans l’eau turquoise des Glénans c’est déjà magique.
C’est une carotte qui permet de faire avaler une progression.