Accident ce week end, demande d'infos

Posté en tant qu’invité par lucie et anais:

pour notre lucas, pour toi Antonin, toi Christophe,

votre absence nous vide,
notre vide et pleins de vous,
nos souvenirs, nos soirés…

et nos soirées vide de vous.
mais ce vous est en nous et continue de nous faire sourire, nous booster ,
de nous donner envie de profiter et de croquer cette putin de vie a votre manière, alors on va pas se dégonfler,

rende’z vous a tous les potos d’Antonin, Lucas et surout si on passe cette annonce ici c’est pour joindre les potes de Christophe de qui on a pas du tout de nouvelles…
on a prevu de faire une soiree ensemble samedi 14 avril, joignez nous a cette adresse: anaboc@hotmail.fr (pour samedi ou une autre fois)

pour que la vie reprenne,
qu’on se retrouve tous,
qu’on danse et festoie en l’honneur de leurs sourires,
rendez vous à tous ceux qui le veulent

Posté en tant qu’invité par Niklaas:

A toi Lucas.
Dire qu’une semaine avant on avait grimpé ensemble…tu m’impressionnais par ta manière de grimper! Dimanche avant cet accident, nous avons skié ensemble le pas de l’Oeille dans la Dent de Crolles. Là bas j’avais remarqué à quel point tu connaissais bien ce milieu qui est la montagne. On peut le dire, tu était un skieur d’exeption. Sans parler de la personne que tu est…la joie de vivre, la motivation, le sourire aux lèvres…
Je ne te connaissais que depuis très peu, mais je t’avoue que tu m’avais inspiré la plus grande sympathie du monde. Tu avais beaucoup d’avenir dans la montagne, malheureusement, la montagne a remporté ce combat.
Tu vas nous manquer. Grande pensée aux familles de ces trois jeunes alpinistes passionnés.

Niklaas Guerrier

Posté en tant qu’invité par marthe:

Christophe, Lucas et Antonin
Voila une semaine que vous êtes partis et votre présence nous manque déjà.
Mais l’aventure n’est pas finis, vous continurez à nous montrer le chemin, les gestes pour grimper. Car vos êtes partis dans le milieu que vous aimez, cette montagne qui nous réjouis tous, qui nous donne tellement de plaisir ; mais qui parfois nous enlève les gens que nous aimons.

Christophe, Je pense que tout le monde sera d’accord pour dire que ta présence à la fac rendait cet endoit moins ennuyant et plus joyeux ; Avec ton petit sourire qui voulait en dire beaucoup, ta façon de regarder les montagnes et de dire " on serait tellement mieux là-haut ".

Merci les gars d’être passés dans nos vies et de les avoir éclairé par vos sourire et votre joie de vivre.
Une grande pensée pour les familles et les proches.
Marthe

Posté en tant qu’invité par isa et fred:

Comment être insensible à cette catastrophe ?
Je suis une amie de Pauline et je n’avais croisé Christophe qu’une fois. Mais j’ai été très touchée pour la nouvelle de sa disparition ainsi que celle de ses 2 amis.
Touchée par leur âge, par le fait que ça peut nous arriver tous,à nous, à nos proches.
Il a été dit que quand on meurt en faisant sa passion, on vit éternellement…alors longue vie à vous les gars, sur ces arêtes et pics que vous aimiez tant…
et veillez sur nous et sur vos proches…
toutes mes condoléances à la famille et aux amis.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Joel:

pour tonio et lucas…

vous allez nous manquer les frangins…Meme si j’ai peu grimper avec toi tonin,j’t’ai connu en soirée ,à l’epoque ou on trouve nos potes pour la vie…je connaissai mieux ton coté fétard que le coté grimpeur et quand j’pensse a toi c’est avec ta vieille veste rouge, ton bonai et ta biere a la main et ton pure sourirre que je te voie, sans toi nos soirée avec la clik paraissent vide…un peu comme les voies et les courses que vous faisiez, vide de vos exploits discrets…triste de plus pouvoir t entendre dire que ce soir tu fait pas la fete pasque tu part à 4h du mat a pied faire a pied tou les sommet jusqu’a chambery…t’etai un ouf frangins et toi et lucas vous allez nous manquer…en souvenir de toutes ses soirées et de tou ces pures souvenirs…

rest in peace tonio et K.lu

Posté en tant qu’invité par Monique:

Comme je pense à vous, les parents de Christophe, Lucas et Antonin.
Comme je m’associe à votre douleur moi qui n’arrive plus à porter la mienne depuis le départ d’Adrien, mon fils, le 2 août 2006 en haut du mont Blanc après la course du Peuterey.
Combien de jeunes… Adrien, François, Antoine, Christophe, Lucas, Antonin…plein de vie, de projets, d’avenir…amoureux de la montagne, sont partis cette année à cause d’elle.
Montagne pourtant si belle comme je te haie, tu m’as volé mon fils aîné, jamais je ne te le pardonnerai.
Que de la haut où vous vous êtes tous retrouvés, envoyez nous un peu de votre courage.
Monique

Michel et Catherine CHOISEAU a écrit:

A Saint-Christophe-en-Oisans, au dessus de la Bérarde, la
muraille nord-ouest du Dôme de neige des Ecrins, haute de plus
1000 mètres, culmine à 4 015 mètres. Elle est fendue d’un
immense couloir, un couloir mythique gravi par Mayer et Dibona
le 14 juillet 1913.

Au soir du jeudi 5 avril, au bivouac, en haut de la moraine,
Christophe, Antonin, Lucas et son amie, étaient joyeux, comme à
l’habitude.

L’itinéraire apparaissait très nettement devant eux au soleil
couchant. Ils venaient de remonter en ski de randonnée le long
vallon de Bonne-Pierre, désert et sauvage.
Ils avaient rêvé et longuement étudié la voie. Les conditions
étaient hivernales et bonnes.

Christophe avait quitté Pauline, son amour, l’après-midi,
confiant et heureux. Ils avaient plein de projets ensemble et
se reverraient bientôt.

Christophe, comme ses compagnons, était jeune, fort et
puissant, sérieux et préparé.

Il préparait l’aspirant-guide, voulait rejoindre l’équipe
nationale de la Fédération française de la montagne et de
l’escalade, il était au Club alpin français. Début février, il
avait obtenu sa Capa. Il enseignait déjà avec plaisir le ski et
le snowboard au sein de l’Ecole de Ski de Val Cenis. Il avait
aussi pratiqué le judo en Haute-Maurienne et été coureur au
Club des Sports.
Amoureux de toutes les glisses, il retrouvait ses amis de
Psykocat pour s’amuser ensemble : ils faisaient partager leurs
plaisirs aux nombreux vacanciers.
Il était à l’université de Grenoble en fac sport.

Pourtant, sa maman Catherine, avait pleuré l’après-midi de son
départ. Sa maman, qu’il avait déjà emmenée en haut du
Mont-Blanc et du Cervin.

Ce vendredi 6 avril au matin, Christophe, Antonin et Lucas sont
partis, à la frontale.
Après plus de 500 m d’ascension, ils étaient sur le haut du
couloir, encordés et unis dans la progression.

Dans la matinée, ils sont tombés ensemble.
Leurs corps meurtris, encore non identifiés, ont été retrouvés
le soir dans la neige sur la moraine.

A 10h30, samedi matin, la nouvelle est arrivée à la maison et
le temps s’est arrêté dans une immense douleur.
Pour toi, Catherine, sa maman, Yoann, son frère, Nathalie, sa
sœur, Pauline, son amie, pour vous tous, ses proches, ses amis
et ses compagnons.
Christophe, mon fils, tu me laisses orphelin.

Christophe, tu aimais, tu aimais tant la vie, tu aimais ces
montagnes, tu étais ivre de liberté, d’espaces, de verticalité,
tu étais heureux et tu le partageais.

C’est ce qui nous rassemble aujourd’hui et c’est ton message.

Un message d’amour, de liberté, d’amitié et de partage.

Michel

Posté en tant qu’invité par pauline:

je vous est vu partir tous les 4 le sourire au levres et la peche comment immaginer que le lendemain on vous retrouverait ts les 3 morts au pied de cette face!je n’ai pas de mots pr decrire le vide qui m’habite…c’etait il ya une semaine ca me parait une eternité et pourtant si proche…je realise a peine ce kil vient d’arriver et me rend compte que plus rien ne sera jamais comme avant…
la vie est parfois injuste!
christophe tu me manques…
lucas tu va me manquer aussi mon pote on se marrait bien ts les 3!
jespere que vous gardez un oeil sur nous dans les montagnes eternelles…en ce qui me concerne vous resterez gravé dans mon coeur

…bcp de courage au 3 familles et aux amis…

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Mathilde Mistral:

Une chute, c’est aussi simple que ça, une chute.
Une chute qui emporta trois de nos amis, amours, fils et frère.
Mon frère qui plus jamais ne reviendra me raconter ses courses, un frère qui plus jamais ne me donnera de conseils pour avancer dans la vie, pour en éviter les embuches. Un frère qui plus jamais ne m’enmènera en soirée, une frère qui plus jamais ne me conduira dans sa voiture toute pourrie, qui pue l’essence. Mais un frère qui veille sur nous, un frère qui a vécu la vie jusqu’à son paroxysme, qui a su mener ses passions jusqu’aux sommets, qui a su bouffer la vie, jusqu’à en avaler la moelle. Lucas, Christophe, et Antonin, nous manquerons à jamais. Ce vide est incomblable. Cependant, ils ont su, en n’arrêtant pas une seconde d’assumer leur choix, et en se donnant les moyens d’avancer dans leur passions, ils ont su nous montrer à quel point la vie est importante, une vie pleine et riche, que rien ne doit stopper. En tombant, ils ont su aussi nous montrer que la vie est fragile, si frêle.

Maintenant que nous avons perdu des êtres chers, irremplaçables, et que la vie doit suivre son impalpable chemin, il faut que Lucas, Antonin et Christophe restent dans nos coeurs, qu’ils continuent de nous accompagner. Puisque les règles leur étaient connues, et que la Montagne seule a décidé la fin de cette partie, c’est plus que jamais le moment d’aller de l’avant.

Lucas, Christophe et Antonin, je vous dédicace la sève et la fougue, l’existence et la passion.
Lucas, Antonin et Christophe, vous ne quitterez jamais, ni nos coeurs, ni nos courses, ni les sommets infranchissables, ni les cimes enneigées.

Mathilde.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par Mathilde Mistral:

Une chute, c’est aussi simple que ça, une chute.
Une chute qui emporta trois de nos amis, amours, fils et frère.
Mon frère qui plus jamais ne reviendra me raconter ses courses, un frère qui plus jamais ne me donnera de conseils pour avancer dans la vie, pour en éviter les embuches. Un frère qui plus jamais ne m’enmènera en soirée, une frère qui plus jamais ne me conduira dans sa voiture toute pourrie, qui pue l’essence. Mais un frère qui veille sur nous, un frère qui a vécu la vie jusqu’à son paroxysme, qui a su mener ses passions jusqu’aux sommets, qui a su bouffer la vie, jusqu’à en avaler la moelle. Lucas, Christophe, et Antonin, nous manquerons à jamais. Ce vide est incomblable. Cependant, ils ont su, en n’arrêtant pas une seconde d’assumer leur choix, et en se donnant les moyens d’avancer dans leur passions, ils ont su nous montrer à quel point la vie est importante, une vie pleine et riche, que rien ne doit stopper. En tombant, ils ont su aussi nous montrer que la vie est fragile, si frêle.

Maintenant que nous avons perdu des êtres chers, irremplaçables, et que la vie doit suivre son impalpable chemin, il faut que Lucas, Antonin et Christophe restent dans nos coeurs, qu’ils continuent de nous accompagner. Puisque les règles leur étaient connues, et que la Montagne seule a décidé la fin de cette partie, c’est plus que jamais le moment d’aller de l’avant.

Lucas, Christophe et Antonin, je vous dédicace la sève et la fougue, l’existence et la passion.
Lucas, Antonin et Christophe, vous ne quitterez jamais, ni nos coeurs, ni nos courses, ni les sommets infranchissables, ni les cimes enneigées.

Mathilde.

Posté en tant qu’invité par Fredi:

Oui, Mathilde a raison, la vie est importante, belle et frêle.

Je ressens fortement, je revis, l’état dans lequel vous êtes face à l’absence impossible.
Mon fils aîné est aussi resté la-haut en Oisans.

Ça ne les fera jamais revenir, mais franchement vous faites bien de parler, d’écrire, de continuer à faire partager leurs vies, leurs passions.

La vie est fragile mais vécu intensément, elle peut être riche.

Amitiés et courage à tous

Fredi

Posté en tant qu’invité par Gravier A:

Je connaissais christophe plus jeune. Il faisait du surf avec ma soeur. C etait un garcon toujours souriant et plein d humour.
nous pensons fort a vous. Sinceres condoléances.

Posté en tant qu’invité par Chantal:

Lucas avait décidé de devenir guide et son père était content qu’il prenne ses responsabilités .
Le papa de Lucas avec lequel j’ai grimpé a transmis à son fils le sens de l’autonomie, de l’engagement et l’esprit de solidarité .

Chercher son équilibre et tracer sa route avec les autres en montagne comme ailleurs , me semble être la vie , naturellement .

Vos échanges ré-ouvrent une brèche que j’ai bien colmatée, faute d’avoir pu exprimer cette grande tristesse qui m’a envahie quand certains de mes proches sont partis, trop vite, en montagne et sur la route .
et je vous en remercie car je ne peux pas me protéger tout le temps .

Posté en tant qu’invité par ufraps:

Ce malheur nous rappelle que la montagne prend seulement ceux qui l’aiment, la défendent et la méritent vraiment, et c’est en ça qu’elle est injuste.

Telle une sirène pour ulysse, elle attire les braves et les héros et si ces derniers ne résistent pas à son appel, ils leur arrivent de succomber…

christophe, lucas et antonin vous nous manquez, mais vous , jeunes passionnés, votre vie sans elle, n’aurait pas été aussi riche d’aventures d’expériences et de passions et vous n’auriez sans doutes jamais été ceux que nous avons tant appréciés et aimés.

Malgré le choc et le tristesse liée à vos disparitions, du haut de ces magnifiques cimes, en regardant haut dans le ciel, nous imaginons encore vos sourires et votre enthousiasme et c’est ceci qui nous aidera je l’espere à accepter votre départ…

Sincères condoléances et tout mon courage en direction des trois familles.

Christophe, nous te remercions pour ces ptites parties de volley… merci d’avoir fait un ptit bout de chemin avec nous et de nous avoir fait rever avec tes jolies histoires de montagne et ta passion.

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par stelleta:

Je ne les connaissais pas, mais ça fait toujours mal de savoir que la nature a une fois de plus pris la vie a de jeunes alpinistes passionnés…

Toutes mes condoléances aux familles et aux amis.

Je ne les connaissais pas, mais connaissant les alpinistes, je pense que même si elle arrive trop tôt, c’était peut-être leur plus belle mort…

Voici une citation de G Bataille a propos:
« L’alpinisme est l’approbation de la vie jusqu’à la mort »…

C’était leur passion, leur vie… et donc leur mort. Même si la montagne est injuste, c’était visiblement leur raison d’être et ils n’auraient pu s’en passer.

Je me mets a leur place là, parce que je n’ai que 17 ans et que la montagne est mon domaine, ma passion, et que je sais que cette passion me porte comme elle devait les porter. Cette passion les a portés jusque dans la mort, sur cette face mythique de la Mayer-Dibona. A présent cette voie porte leurs âmes envolées, elle est la leur, leur voie ultime et fatale.

Pour ceux qui ne la connaisse pas, ils diront surement que la montagne est injuste. Mais « la montagne n’est ni juste ni injuste, elle est dangeureuse » (Messner) , et en réalité toute la vie est dangeureuse et l’on ne s’en rend pas forcément compte.
La montagne, vue de l’extérieur, est parfois vue comme un animal cruel.
Mais les alpinistes connaissent le danger, l’apprivoisent souvent, savent qu’ils peuvent en être victimes…mais partent quand même.

Qu’est-ce qui les pousse si droit vers ce danger incontrôlable, me direz-vous. C’est leur passion de la nature, de l’immensité, de l’aventure, l’amitié qui les lie, l’amour qui leur donne des ailes, leur jeunesse fougeuse mais si heureuse, leur désirs d’altitude, leur rage de grandir, leurs rêves d’enfants, leurs âmes voyageuses,leurs esprits témeraires, leur envie et leur soif de vivre!

Je suis encore jeune, j’ai des rêves de montagne plein la tête, et aujourd’hui en apprenant cet accident tragique, j’ai un peu peur…non pas forcément peur personnellement de mourir en montagne, mais peur de mourir parce que peur de la tristesse dans laquelle mes proches seraient…

Mais l’alpiniste est quelque peu égoïste et reste poussé par ses désirs de sommet… alors je repartirai sûrement, à la recherche de ce que cette vie entre ciel et terre peut m’apporter, car l’alpinisme est aussi une recherche de soi-même, de ses propres limites, une façon de se prouver; c’est aussi souvent une leçon d’amitié, d’humilité, d’expérience de vie. Je pense que c’est par la montagne que l’alpiniste se sent vivre.

G. Rébuffat disait:
« Les montagnes ne vivent que de l’amour des Hommes. Là où les habitations, puis les arbres s’épuisent, naît le royaume, stérile, sauvage, minéral ; cependant, dans sa pauvreté extrême, dans sa nudité totale, il dispense une richesse qui n’a pas de prix : le bonheur que l’on découvre dans les yeux de ceux qui le fréquente. »

« La montagne gagne toujours : soit elle prend votre vie, soit elle garde votre cœur. »
Dans ce cas-là, elle leur a pris la vie, mais elle était dans leur coeur, alors je pense qu’il ne faut pas oublier ce qu’elle était pour eux et tout ce qu’elle leur avait apporté avant qu’ils ne meurent en son sein. Ce n’est pas elle qui les a tué, c’est juste elle qui a servi de linceul pour leurs âmes, qui resteront pour toujours des âmes plus-que -tout amoureuses de la montagne.

Avant de mourir, le fameux Bérobocop avait écrit:
« Montagne, géante secrète qui porte les hommes au ciel. » P.Bérault
Les voila au ciel, devenus trois petites étoiles pleines de jeunesse, qui regardent toutes les montagnes du monde et admirent leurs beautés.

Une pensée encore pour Lucas, Christophe, Antonin, et tous les autres emportés dans leur belle jeunesse par cette passion si belle.

Posté en tant qu’invité par Aline:

Je ne connaissais pas Christophe, Antonin et Lucas… Ou peut-être de vue au détour d’une montagne…
Et pourtant j’ai été profondément touchée par leur histoire, comme je suis toujours marquée par ces décès en montagne.
Celui que j’aimais, Adrien, est parti cet été au Mont-Blanc. Je ressens au plus profond de mon coeur ce que vous ressentez.
Je connais l’immensité de votre douleur. Je vous envoie beaucoup de courage.
Aline.

Posté en tant qu’invité par Bebox:

A VOUS
Plus de soiréées que que de crimpète qui avec vous étaient toujours est resterons toujours mémorables vous étiez des crèmes et tous ceux qui vous ont connus le savent à vous qui avaient si bien parlé de la montagne qui aujaurd’hui vous prend je ne vous oublirai jamais.

Posté en tant qu’invité par pachiderme:

jai envie de vous rendre hommage…ca fait un mois… un mois kje survie, comme tout le monde, un mois que je continue de t’aimer…kj’essaye de mabrutir le cerveau, j’espère être à la hauteur, désolé de pleins de choses…jpense à toi…à vous tous, amis, famille et souhaite votre bonheur parce k nous, il se trouve kon est encore là…
pardoNé, svouplé. one’s love…one’s heart…

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par pauline:

ca fait aujourd’hui un moi que je suis au courant de ce drame…
Pour moi le plus dur n’est pas passé…il reste a venir et je pense à vous, parents, amis,familles…car c’est maintenant qu’on realise jour apres jour leurs absences…
C’est maintenant et encore plus dans les jours, les mois avenir que je vous envoie tout mon courage pour surmonter tous les endroits ou vous etes allé avec eux, tous les souvenirs, les projets qui ne seront plus…

PS:si vous avez des photos de christophe lucas ou antonin est ce que vous pouvez m’en envoyer?merci
pauline

[%sig%]

Posté en tant qu’invité par elisabeth:

Je n’ai pas eu le courage d’écrire ce mot plutôt, et je m’en excuse.

J’ai appris le déccès accidentel de Christophe et de ses compagnons de cordée, le mardi 10 avril dans le journal. Depuis cette date, le temps n’est plus un repaire. Je ressens beaucoup de chagrin et de tristesse, de la tristesse mais aussi de la compassion pour les familles. En particulier celle de Christophe. Toi qui était tout simplement un ami. Un ami que j’aimais et appréciais beaucoup.

Apprendre sa disparition si brutale, si soudaine…

Christophe, toi qui étais tellement gentil, souriant, généreux, attachant et plein de vie…
Cette passion, cette fascination que tu avais pour ces montagnes, tu la vécue jusqu’au bout, jusqu’à ton dernier souffle. Tu en connaissais pourtant les dangers. Mais tu étais tellement jeune, fougueux, débourdant de vie, d’espace, tellement pousser par l’envie d’aller toujours plus loin et plus haut. Enquête de nouvelles sensations, que la montagne t’as choisi. Beaucoup trop tôt, mais elle t’as choisi, toi et tes amis.

Je pense à ta maman, ton papa, ton frère, ta soeur, à toi…

Malgrès ton absence, ce vide qui jamais ne poura se combler même par le temps, tu restera à tout jamais dans nos mémoires et nos coeurs.
Où que tu sois, toi et tes amis jespère que vous êtes heureux, et que vous vivez la vie d’une autre façon que sur terre mais que vous la vivez pleinement comme avant…

                                                                                                       lili