31/01 à Grenoble : Premières analyses de la base de données SERAC

Premières analyses de la base de données SERAC (incidents /quasi-accidents de montagne)
Enseignements et perspectives

Mardi 31janvier 2017 de 14h00 à 16h30
Institut de Géographie Alpine de Grenoble, 14 bis, avenue Marie Reynoard

  • 14h00-15h00 L’équipe de recherche (laboratoire sur les vulnérabilités et l’innovation dans le sport, Lyon 1) présentera son rapport sur les premiers enseignements de la base de données SERAC et les perspectives à long terme ’utilisation et d’analyse de cet outil.
  • 15h00-15h30 L’association Camptocamp exposera les nouvelles opportunités offertes par un réseau social de montagne pour partager des informations, améliorer la prise de décision et réduire les accidents.
  • 15h30-16h30 Échanges avec la salle.

Ces échanges s’achèveront vers 16h30 autour d’un verre.

Voir l’invitation à cet événement (351,7 Ko)

La base SERAC est par ailleurs à nouveau disponible en édition.
N’hésitez pas à saisir les comptes rendus de vos mésaventures qui ont ou qui auraient pu mal tourner pour partager ce retour d’expérience avec la communauté

Reportage sur France 3:

Merci d’avoir mis un lien. L’horaire ne permettait pas d’assister aisément à cette conf.

Le document de synthèse sur cette première analyse de la base SERAC est disponible sur la page accidentologie du site de la fondation Petzl.

Ce document de synthèse après un an de mise en ligne de SERAC est plus qu’encourageant, il montre toute l’utilité du temps consacré par les contributeurs à enregistrer ce type d’événement et la restitution qui peut en être faite.

J’invite chaleureusement tous ceux qui se sentent concernés par ce sujet à lire ce premier document de synthèse. Merci à tous les contributeurs de SERAC.

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Oui, c’est assez instructif !

Par contre, je suis désolé d’annoncer que je vais tout faire pour ne pas être en mesure de contribuer :wink:

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Si l’on considère le petit nombre d’accidents ou de quasi-acidents relatés depuis un an, je me demande si cela est bien représentatif pour en tirer des conclusions ?

Même sur un seul accident on peut parfois tirer un enseignement pour éviter (tenter d’éviter) que cela se reproduise.

Je ne sais pas si le chiffre est petit ou grand (par rapport à quoi?) C’est en tout cas la plus grande base de données d’accidents de montagne accessible publiquement, à ma connaissance. Dans un domaine où le secretisme est la norme, c’est un premier effort pour rendre l’information à disposition de tous.
Jusqu’à présent c’étaient les services de secours ou de soins les détenteurs d’informations partielles (d’accord à leur propres besoins dérivés de leur fonctions spécifiques) mais ils ne les rendaient pas publiques. À juste titre, car ce n’est qu’aux vrais protagonistes des faits de décider si oui ou non ils veulent partager leur expériences. C’est dans ce contexte que s’inscrit la base de données SERAC, pour permettre aux protagonistes de partager leur expériences librement (et anonymement si ils le souhaitent).
Tu mets les doigt sur un point important: plus d’événements et donc d’information, mieux c’est. En ce sens, SERAC se veut un outil qui puise être utilisés par tous, pas uniquement par la communauté Camptocamp. On a mis l’outil technique en place pour que n’importe quel personne ou institution puise alimenter et lire la BD depuis leur propre site.