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Merci pour votre compte-rendu, qui redonne vie à mon désir d’a
Ah ! zut ! le commentaire est parti sans ma permission. Je reprends, donc.
Merci pour ce compte-rendu, qui me redonne envie d’aller un jour visiter ces dalles à cannelures. Le malheur, c’est que quand on habite les Hautes-Pyrénées, le tropisme espagnol est bien fort, et que le roc des bœufs, c’est bien loin ! Plus loin de chez moi qu’Alicante, Sella et le Puig Campana, où il n’y a jamais d’hiver !
Mais rien que la photo de cette fabuleuse cannelure, ça donne envie ! Merci pour ça ! Elle doit rudement faire mal aux pieds, quand même !
Une petite remarque, qui va m’attirer des foudres méritées, et que je ne me permettrais pas si la langue française de ce compte-rendu n’était par ailleurs irréprochable (ce qui, reconnaissons-le, n’est pas toujours le cas sur C2C). Alors bon, je me lance, quitte à me faire attraper. Que voulez-vous, quand on est prof, on ne se refait pas !
Vous ne vous êtes pas « retrouvées trop hautes à un moment », mais trop haut. C’est l’adverbe, invariable, qui s’applique au verbe (« retrouvées ») et non à vous, qui avez, j’en suis sûr, la taille parfaite (ni trop hautes, ni trop basses) ! Comme adverbe, « haut » concerne votre hauteur dans la face.
Allez, j’arrête la leçon d’orthographe. Cette faute-ci est fort bénigne, et remarquez que je n’ai jamais rien dit sur ces innombrables récits qui parlent du « très beau caillouX » ! Maintenant, n’hésitez pas : feu à volonté sur l’insupportable redresseur de torts !
Avec mes excuses et mes vœux de bonne grimpe (bovine et autres) à toutes et tous…
Patrick Dupouey