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Désolé pour vous. Je pense voir où s’est déroulé la chute, c’est dans le dernier bastion vertical avant de se rétablir sur l’arête sommitale (autour de la cheminée dièdre en IV+ du topo) ? J’ai fait cet itinéraire en 2022, et une cordée devant nous avait fait une chute à ce même endroit, sans conséquence mais les deux s’étaient retrouvés pendus sur un seul friend (qui doit toujours être en place) …
Au demeurant, j’ai pas le souvenir d’avoir trouver le rocher si médiocre que ça, et même plutôt bon sur une majorité du parcours. Mais il est vrai que 2/3 passages étaient en rocher absolument immonde, le pire sur lequel j’ai grimpé. Quant à l’accès et à la descente…
Pour donner une petite piste de réflexion en réponse a ton interrogation : je pratique également la spéléo (dans des gouffres engagés et d’envergure) et de part la nature de l’activité nous n’avons jamais aucun moyen de communication avec la surface ( c’est possible, mais avec du matos particulier qui n’est utilisé qu’en secours).
Les solutions trouvées pour notre activité sont les suivantes :
- Nous avons toujours une sonnette en surface qui connait l’objectif, l’effectif et les horaires théorique de la sortie
- Nous sommes entrainés à l’auto secours
- Nous ne partons pas à poil en termes de matos technique
- Nous avons toujours de quoi nous mettre en attente
- Il ne doit rien arriver donc on ne tente jamais rien d’aléatoire (en theorie)
Tout n’est pas applicable à la montagne facilement mais ca peut donner quelques pistes.
Je partage entièrement !
Autres pistes possibles en alpi : le sifflet (3 coups consécutifs en alpi = appel au secours. Ca porte loin, ca passe partout sans réseau !)
Et encore : la frontale (idem, mais mais pour se signaler il faut qu’il fasse nuit !)
Ou le téléphone ou balise satellite, mais c’est plus cher…