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Wow grand bravo ! Ca doit être quelque chose l’engagement sur ces arêtes !
Bien joué, un bel itinéraire !
« Je ne suis pas un vrai montagnard »
Ne jure de rien, en ce domaine, est ce vraiment toi qui décide ???
Ou bien les montagnes qui t’appellent ?
100% d’accord avec el celtico… c’est là haut que ça se passe alors si on y est… c’est déjà grand… et effectivement cette beauté préservée qui nous fait tant de bien est l’essentiel…
Merci pour vos commentaires !
Celtico je fais un peu allusion à la Verte que je n’ai pas faite. Chacun.e a sa longueur de course qui lui correspond à chaque instant, et c’est intéressant de se poser la question. Mon rêve est-il réalisable ou faut-il le garder en rêve ?
Au sens du goût de la montagne, pas de questions à se poser
J’ai pas fait la Verte ni la Meije (tentée sans guide dans un moment d’optimisme et de naïveté)
Et je ne sais pas si je suis montagnard mais peu importe. Bravo pour ta Meije !
Eh beh les copains on a mangé ensemble au refuge.
Derrière Stéphane c’était rando.( sans courir, nos voisins suisses étaient devant nous de temps en temps Steph les routait, mais ils étaient très efficace .
Pour les rappels soit nous descendions sur un brin et la cordée de derrière nous libérait la corde ou nous descendions sur les deux brins, ( noeud simple + simple pêcheur sécurisant la corde de 6) le tout bloqué par le reverso de celui qui descend en dernier.
Le premier qui arrive en bas securise la corde pour éviter le glissement. ( c’est pas trop facile à expliquer).
Bien joué Men.
J’en profite pour faire un petit coucou à Laurent.
Bien joué à vous, il fallait monter quand même !
Ça m’intéresserait de voir le « bloqué par un Reverso » si vous arrivez à faire une photo reconstituée. Un mousqueton entre le maillon et les noeuds doit pouvoir fonctionner aussi, et bonne idée de bloquer les cordes en bas pour le dernier !
Bravo Jérôme pour cette traversée mythique, bien joué !
Pour les rappels avec cordelette ce que je fais c’est de rabouter corde et cordelette avec deux nœuds simples (même manière que recommandé pour un rappel normal) avec un gros mousqueton pris dans le premier des deux nœuds. Le mousqueton ne peut pas traverser l’anneau dont le nœud non plus. (Le risque que je vois à mettre un mousqueton entre les nœuds c’est que le premier nœud traverse l’anneau et que la corde soit impossible à récupérer.)
Bravo pour cette traversée mythique !
Beau récit où on perçoit bien les différentes émotions et l’engagement de la course (j’aime bien le passage, façon de parler, « j’arrête l’alpi et j’appelle l’hélico »).
Et pas si mal pour la tenue de l’horaire !
Merci.
JF je n’ai pas tes capacités physiques pour venir en vélo depuis Grenoble, monter tout à pied et être autonome bouffe-couchage. Chapeau à vous !
Quand on est hyper sensible, les émotions positives ou négatives et les détails sont amplifiés…!
Salut
J’avais vu que tu as parcouru cette belle arête perchée toi aussi, super : j’imagine bien vos émotions à tous, c’est quelque chose quand on se retrouve là-haut à s’engager dans la traversée après le Grand Pic, qui est tout de même déjà bien haut à atteindre…
Bravo les montagnards
Comme quoi à la Verte on devient montagnard…c’est de Rebuffat cette analyse non ?
A la Meije aussi on devient montagnard je pense, c’est très comparable…
C’est la dernière à avoir été gravie la Meije non ?
Elle était imprenable, cette Meije à l’époque…