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Bonjour Bruno.
« Pas un chat », il ne faut pas exagérer 
: on y était aussi ce jour-là, à l’Aiguillon (groupe de 5 à ski), et on vous a d’ailleurs vu de loin à la remontée à la tête de l’homme. Il y avait aussi 2 autres groupes à ski montés depuis Fouillouse vers la tête de l’Eyssilloun. Mais c’est vrai qu’il n’y avait pas grand monde et qu’on a pu faire de belles traces 
.
Laisse tomber, il confond des raquetteurs avec des skieurs, et ne sait pas compter jusqu’à 5.
Mais techniquement, vous n’êtes pas des chats !
Bah c’était pas 4 plus un chien (chat ?) ? Et puis l’itinéraire depuis Fouillouse doit vraiment être plat alors, parce qu’au retour ça avait pas l’air de glisser sur des skis !
Bon, on s’en fiche, vous étiez loin de moi donc vous ne comptez pas 
Bonjour, on a voulu faire un tricotage du même genre que le votre hier (dimanche) mais ça c’est mal terminé : je suis passé dans vos traces sous la cabane du Soldat et c’est parti sur 50m de large sur 100-150m de D-
L’airbag et un ange gardien m’ont sauvé la mise, pas de bobo, enfoui mais tête à raser la neige tout juste pour respirer le temps que les copains arrivent.
Au final juste un ski perdu, mais bien secoué mentalement…
Ce message est juste pour info, je n’ai vu votre sortie qu’aujourd’hui
Keep safe !
Wow ! Effectivement ça fait réfléchir… On avait gardé nos distances dans le coin sur le haut, mais on s’était relachés plus bas. Quand tu parles de la 2ème rupture de pente dans ton compte-rendu, c’est laquelle ? Pour moi il y en a une au départ, ensuite c’est plus raide à droite, mais ce n’est pas ce qui est parti.
Dans mon esprit il y avait une zone moins raide entre la pente de départ et la pente centrale d’où la plaque est partie. Je n’ai pas de photo du haut, ça aurait été plus parlant.
D’ailleurs nous avons eu un problème de communication dans le groupe parce que ceux qui attendaient en haut n’ont pas vu l’avalanche et les deux qui étaient derrière moi (à bonne distance) on eut du mal à leur faire comprendre que j’étais parti dans une avalanche.
Mon analyse est que j’ai du passer à un endroit où la neige était peu épaisse et que j’ai sollicité une couche fragile persistante ancienne, là où la neige est partie jusqu’au sol.
Reste que j’étais assez serein en me lançant dans cette pente, et forcément, même si en théorie on ne doit pas en tenir compte, vos traces m’ont conforté dans l’idée que ça n’avait rien d’extrême…