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Ah mais j’avais pas vu ton périple à Magadascar ! Elle est super cette voie ! Pour ma part j’avais des chaussures La Sportiva, un vieux modèle entre la chaussure d’approche et le chausson. Et j’ai bien arqué dans la traversée à gauche du 7b !
Héhé excellent, on reparlait justement ce dimanche à Sormiou de cette voie, avec François !
Dans mes redécouvertes verticales du moment, je suis toujours surprise de me rendre compte à quel point je suis capable de faire confiance à un appui de pied quand je n’ai pas le choix, vu que je ne vais plus avoir de mains sur le caillou le temps de la relance…
Alors que quand j’avais 2 mains, j’aurais bêtement crispé celle restant en contact avec le caillou le temps de bouger l’autre : pourtant le pied se suffit à lui-même…
Nous nous disions donc que de grimper de telles voies dures (pour nous !) en baskets (gardons la légende !) t’offrait peut-être le même genre de ressentis, d’aller découvrir ce que tes doigts permettent quand ce n’est plus la précision de la gomme des chaussons qui fait une partie du job…?
Répondre à une question deux ans après ! A l’époque du tout instantané c’est cocasse !
C’est ce que tu dis, grimper en basket une voie moins dure, ça permet de retrouver le jeu d’être limite, d’être très concentré pour trouver une solution et prendre le risque de la tenter. Les trucs qu’on aime bien en escalade !