Avec certains filtres on en trouve un certain nombre (8 sur 30 ici : Camptocamp.org - masquer la carte pour voir la colonne avec les petits drapeaux).
Télécharger et/ou visualiser toutes les traces GPX de C2C
Toute cette discussion me fait penser qu’il serait par ailleurs sans doute pas mal de lancer un GPX-thon, pour tous les topos qui n’ont pas de trace mais pour lesquels il y a des sorties qui proposent une trace, traces de sorties dont il faudrait voir si elles pourraient être transformées en trace pour le topo.
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Traçothon ça sonne mieux non ?
Il faudra contacter tous les auteurs pour accord bien évidemment. Ça va etre long ! Mais oui il faudrait le lancer…
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Je ne vois vraiment pas comment une trace GPX pourrait rentrer dans le cadre du droit d’auteur?
Bonsoir,
Par exemple comme ça, je suppose :
GPS drawing : avec les applications, les coureurs font de l’art en courant (ladn.eu)
Bernard
Si elle est associée a une sortie !
Non ?
Non, c’est comme pour une photo. Si tu prends une photo lambda, c’est une simple reproduction mécanique, tu ne peux pas faire valoir un droit d’auteur dessus, parce que n’importe qui peut faire la même, l’essentiel c’est le dispositif de reproduction que tu utilises; si tu prends une photo en travaillant le cadrage, la mise au point, les lumières, etc., alors tu peux faire valoir un droit d’auteur. De même, si tu lances juste ton GPS avant de faire un trajet évident (un sentier qui va d’un point A à un point B), comme n’importe qui faisant la même chose obtiendrait à peu près la même trace, ça ne rentre pas dans le cadre du droit d’auteur. Par contre, si tu t’amuses à faire ce dont parle Bernard, là ça rentre dans le cadre du droit d’auteur. Donc pour les traces des sorties C2C, a priori pas de droit d’auteur possible, donc une réutilisation sans problème dans la partie topo. D’où l’intérêt d’un Traçothon
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Droit d’auteur peut-être pas mais pour les photos il ne me semble pas qu’on puisse en prendre sur une sortie pour les mettre sur l’itinéraire si elles sont en licence individuelle.
C’est peut-être différent pour les traces?
Perso je reprends souvent mes traces brutes pour les améliorer, supprimer des points en trop ou aberrants etc. Je ne sais pas si ça joue.
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Je suis daccord avec cela et pour moi les traces c’est pareil. Licence individuelle si sortie. Donc demande d’accord pour passer en collaboratif.
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Pour les photos c’est facile la licence est mentionnée. Pour les traces je crois pas et n’importe qui peut les télécharger. J’ai un doute du coup. Modifier la trace à l’intérieur de la sortie serait sans doute répréhensible (et impossible d’ailleurs sauf pour les modos topo) Mais la télécharger pour la mettre sur l’iti? Pas sûr.
C’est pas précisé dans notre article licences.
A ameliorer ?
https://www.camptocamp.org/articles/106728/fr/licences-des-contenus
C’est contenu dans données géographiques non ?
La trace gpx n’est pas sous droit d’auteur sauf œuvre particulière, mais cela signifie qu’on peut aller la relever et la diffuser soit même, pas qu’on peut reprendre celle des autres !
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Peut etre. Suffisamment pas assez clair pour qu’on se pose la question…
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Le sujet des traces gpx est intéressant même si tu @michtolapompe parles plus du ski de randonnée.
Il faut cependant distinguer plusieurs types de traces gpx liées à leur degré de répétabilité :
Les traces FIXES ou tout le monde passe par le même endroit; du simple fait de la présence d’une barre rocheuse, d’un vallon et d’un chemin connu par exemple.
Les traces ALEATOIRES notamment en terrain vaste ou dans des zones où le terrain change, où pour aller d’un point A à un point B tout est possible.
Les traces DIFFICILES qui n’expliquent plus rien devant le « passage obligé » ou dans le terrain « penché » et dont la « voie » n’est pas une vraie voie d’escalade connue dans les livres…d’escalade ! Applicable au freeride également pour les sauts de barres 
le genre de trace à ne pas mettre dans les mains d’un citadin fraîchement mis au vert par chez nous, ou d’un cafiste à l’aise avec un baudar mais ne sachant tenir debout sans !
Nous avions réfléchi à une carte INTERACTIVE pour notre vallée où les traces du premier type auraient une certaine couleur et seraient constamment présentes; ou les traces du second type n’auraient qu’une présence à court terme. Et où les traces du dernier type aurait la couleur rouge du danger, ne seraient accessibles qu’aux pratiquants chevronnés ! Du coup on revient au problème des différents niveaux de difficulté/technicité/durée/exposition notamment cette frontière qui se chevauche entre l’alpinisme et la randonnée alpine, notre passion. Un sujet sans fin !
Nous signalons enfin qu’à l’heure où C2C commence à faire l’aumône et que sa gratuité ne vas pas duré ad vitam aeternam, que le paiement de trace GPX se pratique depuis longtemps sur certaines courses de longues distances et certains sites dédiés au trail. Je dis ça je dis rien 
Le constat pour notre discipline (qui exclu le ski de randonnée) est plutôt moche et inutile en superposant sur IPhiGéNie une année de traces dans le même secteur d’un seul hamster à deux pattes; même si il ne s’agit pas d’une carte interactive !
Bon dimanche !
C2C a depuis le début fonctionné en partie sur les dons, comme une grande majorité des associations. Il est contraire aux status de l’asso et absolument pas prévu que le site devienne payant : cela n’arrivera jamais. Exactement comme wikipédia.
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Une extrapolation mensongère, voire diffamatoire si on voulait pinailler. Le contenu est en licence libre, le code est open source : il ne peut y avoir de monétisation ou de restriction concernant l’utilisation de camptocamp.
Fin de l’aparté.
Je l’avais pas vu comme une attaque, mais comme une proposition, une idée. Pas adaptée par méconnaissance des statuts et principes de l’association, mais rien de plus 
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Mais oui ! Trop bien d’avoir un visu complet !!
La compilation des traces fonctionne bien sur Strava en CAP. Autour de chez moi, les « chemins » Strava sont plus précis que l’IGN, ou l’OTM, hormis pour les chemins sans issus.
A voir en ski de randonnée qd il n’y a pas de chemins. Mais la simple superposition des traces ne me semble pas suffisante pour que cela soit facile à utiliser. Si c’est pour retrouver des traces sur la quasi-totalité de la carte :-). Il faut traiter l’ensemble des traces pour que cela soit utilisable facilement.
D’une manière générale, Strava, avec Garmin et autres Suunto, ont grosso-modo raflé la mise des informations sportives géolocalisées. On s’en doutait depuis 1 décennie. Mais, c’est devenu tellement efficace de renseigner toutes ses activités sur Strava, et encore plus avec une montre connectée, que le flux d’informations doit juste être monstrueux. Il doit y avoir des dizaines de personnes travaillant constamment à améliorer cela.
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Techniquement, on peut vendre les traces GPS associés aux itinéraires c2c. Tu peux même le faire toi même, les licences le permettent.
Mais, j’ai du mal à croire que la vente de trace puisse être une source de revenus significatifs, que cela soit sur c2c ou ailleurs. Y compris en trail. C’est tellement facile aujourd’hui de partager et donc de trouver des traces pour quasiment tout, qu’il va falloir amener de la valeur ajoutée pour vendre ce qui est disponible gratuitement.
Pour l’instant, les traces sont gratuites sur Strava. Tout est dit 
Néanmoins, je suis preneur de pages web vendant des traces pour comprendre le principe.
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Dans certaines régions du topo-guide, les traces GPX des cascades de glaces ont été renseignées de manière quasi-systématique. L’objectif est simplement de repérer la cascade sur la carto. Par exemple Camptocamp.org
Les traces sont « courtes » car correspondent à la partie technique géolocalisée sur la carte. Compte tenu de la couleur jaune de la trace, souvent proche des fonds carto (IGN OTM), c’est donc difficile à voir sur la carto c2c, à fortiori avec le logo itinéraire qui se superpose. Mais si on le sait, ça simplifie énormément la location des cascades.
D’une manière générale, l’avenir de la « géolocalisation » sur c2c, c’est plutôt les itinéraires techniques dans des activités techniques … Les activités peu techniques (CAP, randonnée pied ou ski, vélo, VTT …) sont sur Strava, à fortiori les activités de « sportifs » => aucun nouveau pratiquant utilisant Strava ne viendra rentrer une sortie/activité/trace sur c2c dans des activités de sportif car c’est beaucoup plus compliqué et ne correspond pas aux besoins.
Question besoin, sur Strava, personne ne te prend la tête parce que tu as fait 10 fois le même itinéraire dans la semaine sans rien écrire ni même mettre un photo. Au contraire, c’est valorisé. Personne ne te prend la tête parce que tu te regardes le nombril et te pignole dans un concours de bite ou sur tes datas, c’est fait pour cela.
La géolocalisation de trucs simples n’a pas beaucoup d’avenir sur c2c parce que d’autres ont réussi à automatiser le traitement pour les informations simples (OTM, Strava …).